Un héros légendaire revient après avoir été enfermé pendant mille ans ! Hélas, le monstre scellé dans son corps se réveille en même temps que lui et menace la Terre ! Goku pourra-t-il vaincre ce redoutable ennemi ?!
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Un vieillard du nom de Hoi attire la curiosité de Gokû et les siens en prétendant qu’une boîte à musique enfermerait un héros au pouvoir incroyable et que lui seul pourrait détruire un monstre qui s’approche de la Terre. Grâce à Shenron, le héros Tapion est libéré, mais celui-ci semble craindre sa libération... Cela aurait-il un lien avec l’attaque du monstre Hildegarn sur la ville ?
Nous sommes face à la monture papier du dernier film de Dragon Ball Z, du moins jusqu’à Battle of Gods en 2013. L’origine de cette histoire est d’ailleurs louable, car elle souhaitait expliquer la puissance de l’épée de Trunks... du futur. Or, le scénario tombe à l’eau sur le principe que les deux époques sont différentes et que sans Piccolo dans le futur pour maintenir les Dragon Ball en état, Tapion n’aurait pu être libéré. Néanmoins, cela n’empêche pas ce treizième film d’être ce qu’il est, l’un des meilleurs de la saga.
Finalement, L’attaque du dragon ne propose qu’assez peu d’affrontements, tout juste un combat final vite bouclé contre le monstre Hildegarn et une légère scène d’action entre-temps, mais il se focalise davantage sur l’histoire du héros qu’est Tapion, l’un des personnages les plus charmants des nouveaux venus apportés par le chapitre Z et rappelle sans mal le Trunks du futur par la noirceur de sa psychologie. Ses interactions avec Trunks sont d’ailleurs intéressantes, car jusqu’ici, le rôle du personnage était assez léger et surtout voué à apporter du comique dans la saga Boo. Le jeune Trunks devient ainsi plus attachant au contact de Tapion, ce n’est donc finalement pas pour le Trunks du futur et les origines de l’épée que nous lisons cette histoire, mais bien pour celui du présent.
Scénaristiquement, ce treizième film a donc beaucoup de charme, mais pour l’apprécier comme il se doit, l’anime comics n’est pas vraiment la meilleure solution. Retrouver sur le support papier ce récit est toujours intéressant d’autant plus qu’il permet à certains de découvrir une traduction plus fidèle que la VF d’époque, mais on perd bien des autres charmes de ce métrage. Du côté des défauts de la conception de l’ouvrage, le découpage de l’action n’est toujours pas évident et à moins d’avoir vu le film, il arrive qu’on ne saisisse pas la construction des combats. Mais surtout, l’absence de toute animation et surtout de la superbe bande originale du film enlève l’un des plaisirs de découverte de cette histoire.
Au final, l’un des meilleurs films de Dragon Ball Z se laisse lire avec grand plaisir si on connaît le métrage sur le bout des doigts. En revanche, cette monture est à déconseiller en tant que première expérience de l’histoire et Tapion. Outre le bon scénario présent, les qualités de L’attaque du dragon sont aussi visuelles et sonores. Lire l’anime comics est donc agréable, mais rien ne vaudra jamais la version d’origine. Notons que c’est avec ce treizième opus que la saga manga des films Dragon Ball Z s’achève. Néanmoins, le quatorzième film, à savoir Battle of Gods, est déjà proposé, mais dans un format différent étant donné la longueur l’histoire. Reste à savoir maintenant si les deux excellents chapitres que sont « Le père de Son Gokû » et « L’histoire de Trunks » viendront rejoindre les treize films présents.
Grâce au célébrissime « Dragon Ball », Akira Toriyama est sans aucun doute l'auteur de manga le plus célèbre au monde. Il commence à publier ses premières histoires dans le magazine Shônen Jump dès 1980 avec « Docteur Slump » qu'il dessine pendant quatre ans. Il rencontre un succès mondial avec « Dragon Ball », publié dans le même magazine pendant 10 ans, de 1985 à 1995, totalisant plus de 8000 pages de bande dessinée. Une série magistrale qui le propulse parmi les plus grands. Il signe ensuite « Cowa » en 1998 et deux one-shot en 2000, « Kajika » et « Sand Land », publiés chez Glénat. Le studio que dirige Akira Toriyama s'appelle « Bird Studio » et en plus de la bande dessinée il a travaillé sur le design de personnages de jeux vidéo comme « Toruneko no daibôken » ou « Chrono Trigger ».
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