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  • Jacques Mesrine

    Edité par Flammarion,, 2008

    Vendeur : PRISCA, Paris, France

    Évaluation du vendeur 3 sur 5 étoiles Evaluation 3 étoiles, En savoir plus sur les évaluations des vendeurs

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    Edition originale

    EUR 15 expédition depuis France vers Etats-Unis

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    Couverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. IN 8-394 PAGES.

  • Mesrine, Jacques

    Edité par Círculo De Lectores, S.A., 1979

    ISBN 10 : 8422611279 ISBN 13 : 9788422611271

    Langue: anglais

    Vendeur : SalvaLibros, Talavera de la Reina, TOLED, Espagne

    Évaluation du vendeur 5 sur 5 étoiles Evaluation 5 étoiles, En savoir plus sur les évaluations des vendeurs

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    Edition originale

    EUR 20,90

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    EUR 30 expédition depuis Espagne vers Etats-Unis

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    Cartoné. Etat : Como nuevo. 1ª ed. 328 páginas 13x20 cm.

  • Mesrine Jacques

    Edité par Éditions Champ Libre, 1984

    ISBN 10 : 2851841440 ISBN 13 : 9782851841445

    Langue: français

    Vendeur : librairie philippe arnaiz, Isle sur la sorgue, France

    Évaluation du vendeur 5 sur 5 étoiles Evaluation 5 étoiles, En savoir plus sur les évaluations des vendeurs

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    EUR 15 expédition depuis France vers Etats-Unis

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    Très bon état. 14x3 2x23 8cm. 1984. Broché.

  • Mesrine, Jacques:

    Edité par Hamburg, Nautilus Nemo Press,, 1980

    ISBN 10 : 3922513034 ISBN 13 : 9783922513032

    Langue: allemand

    Vendeur : Antiquariat Neue Kritik, Frankfurt am Main, Allemagne

    Évaluation du vendeur 5 sur 5 étoiles Evaluation 5 étoiles, En savoir plus sur les évaluations des vendeurs

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    Edition originale

    EUR 12 expédition depuis Allemagne vers Etats-Unis

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    21 x 13 Broschur. Etat : Gut. 349 Seiten. Einband altersbedingt leicht gbräunt, ansonsten tadelloses Exemplar. Sprache: Deutsch Gewicht in Gramm: 450 Ungekürzte deutsche Erstausgabe, 1. Auflage.

  • MESRINE, Jacques.

    Edité par Hamburg. Nautilus. 2006., 2006

    Vendeur : Antiquariat CoBrA, Oberrohrbach, Autriche

    Évaluation du vendeur 5 sur 5 étoiles Evaluation 5 étoiles, En savoir plus sur les évaluations des vendeurs

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    Edition originale

    EUR 52 expédition depuis Autriche vers Etats-Unis

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    Hamburg. Nautilus. 2006. Kassette noch original versiegelt! CD Tadellos. Sprache: Deutsch. *** Bitte kontaktieren Sie uns immer BEVOR Sie bestellen! Für ausführliche Beschreibungen und Bilder sowie günstigere Versandoptionen kontaktieren Sie mich bitte per Email! Please contact us always BEFORE you order! For detailled descriptions and photos as well as cheaper shipping options please send an email! ***.

  • MESRINE, Jacques.

    Edité par Hamburg. Nautilus. 2006., 2006

    Vendeur : Antiquariat CoBrA, Oberrohrbach, Autriche

    Évaluation du vendeur 5 sur 5 étoiles Evaluation 5 étoiles, En savoir plus sur les évaluations des vendeurs

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    Edition originale

    EUR 52 expédition depuis Autriche vers Etats-Unis

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    Hamburg. Nautilus. 2006. Kassette noch original versiegelt! CD Tadellos. - Noch original versiegelt. Sprache: Deutsch. *** Bitte kontaktieren Sie uns immer BEVOR Sie bestellen! Für ausführliche Beschreibungen und Bilder sowie günstigere Versandoptionen kontaktieren Sie mich bitte per Email! Please contact us always BEFORE you order! For detailled descriptions and photos as well as cheaper shipping options please send an email! ***.

  • MESRINE, Jacques.

    Edité par Hamburg. Nautilus. 2006., 2006

    Vendeur : Antiquariat CoBrA, Oberrohrbach, Autriche

    Évaluation du vendeur 5 sur 5 étoiles Evaluation 5 étoiles, En savoir plus sur les évaluations des vendeurs

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    EUR 52 expédition depuis Autriche vers Etats-Unis

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    Hamburg. Nautilus. 2006. Kassette noch original versiegelt! CD Tadellos. - Sprache: Deutsch. *** Bitte kontaktieren Sie uns immer BEVOR Sie bestellen! Für ausführliche Beschreibungen und Bilder sowie günstigere Versandoptionen kontaktieren Sie mich bitte per Email! Please contact us always BEFORE you order! For detailled descriptions and photos as well as cheaper shipping options please send an email! ***.

  • Image du vendeur pour L'instinct de mort mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    MESRINE Jacques

    Edité par Jean-Claude Lattès, 1977

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

    Évaluation du vendeur 5 sur 5 étoiles Evaluation 5 étoiles, En savoir plus sur les évaluations des vendeurs

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    Edition originale

    EUR 30 expédition depuis France vers Etats-Unis

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    couverture souple. - Jean-Claude Lattès, Paris 1977, 14x22,5cm, broché. - Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Dos ridé comme habituellement, petits frottements marginaux sur les plats. Rare et bel exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

  • Image du vendeur pour Jacques Mesrine, ennemi public n°1. L'instinct de mort, récit. Jean-Claude Lattès édireur, 1977 (achevé d'imprimer le 4 février 1977). Edition originale (premier tirage). Bel exemplaire auquel on joint 6 lettres autographes adressées à sa maîtresse Jocelyne Deraiche entre juin 1973 et octobre 1977. Rare ensemble. mis en vente par Librairie L'amour qui bouquine

    EUR 12 500

    Autre devise
    EUR 13,50 expédition depuis France vers Etats-Unis

    Destinations, frais et délais

    Quantité disponible : 1 disponible(s)

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    Couverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. Jacques MESRINE [Jocelyne DERAICHE] L'instinc de mort, récit. Jean-Claude Lattès édireur, 1977 (achevé d'imprimer le 4 février 1977) 1 volume in-8 broché (22,5 x 14 cm) de 333 pages. Très bon état. Très légère marque au dos et petit manque de pelliculage dans l'angle supérieur haut, intérieur et volume très frais, bon papier resté blanc. Edition originale (premier tirage). Livre phare écrit par l'ennmi public n°1. Comprenant qu'il se passera probablement des années avant qu'une autre occasion d'évasion se présente, il décide d'écrire son autobiographie L'Instinct de mort, qui paraît le 3 mars 1977. Dans ce livre, il déclare avoir tué trente-neuf personnes. À ce sujet, un criminologue, René Reouven, commente : « Il y a chez Mesrine un petit tueur qui se voudrait grand et si l'on peut comptabiliser les crimes qu'il a commis, on ne saurait en faire autant pour ceux qu'il revendique. » En effet, les affaires de meurtre revendiquées par Mesrine ne se rapprochent d'aucun crime réel non élucidé. Le 19 mai 1977, Mesrine est condamné à 20 ans de prison pour vols à main armée, recel et port d'armes par la cour d'assises de Paris présidée par le juge Petit. Durant ce procès, il se produit une anecdote célèbre : il défait le nud de sa cravate, en sort une petite clé, qu'il proclame être celle de ses menottes procurée par un gardien véreux, puis il la lance aux journalistes présents au tribunal, déclarant ainsi prouver la corruption de la police et de la justice. Il s'avère qu'il s'agissait en fait de la clé servant à ouvrir le cadenas de la télévision de sa cellule. Il est transféré au quartier de haute sécurité de la prison de la Santé. Cette incarcération est à l'origine d'un combat médiatique qu'il entreprend par le biais de la presse afin de faire fermer les quartiers de haute sécurité, qu'il juge dégradants et inhumains. Il parvient à s'évader le 8 mai 1978, à 10 h, accompagné de François Besse. Après son évasion, Jacques Mesrine avait donné le 4 août 1978 une interview à Paris-Match. Le 10 novembre 1978, il tente d'assassiner le juge Charles Petit, président de la cour d'assises de Paris, qui l'avait condamné à vingt ans de prison l'année précédente, en 1977. Le 21 juin 1979, Mesrine enlève le milliardaire Henri Lelièvre de sa maison Le Colinet à Maresché dans la Sarthe, avec la complicité du braqueur Michel Schayewski, tous deux se faisant passer pour deux policiers, avec fausses cartes de police. Vingt-huit jours après l'enlèvement, ils demandent une rançon de six millions de francs et à son fils Henri Lelièvre de choisir une personne de confiance pour l'apporter. À la suite de l'enlèvement du milliardaire Lelièvre, une unité anti-Mesrine est créée en août 1979. Le 10 septembre 1979, Mesrine et un complice tendent un guet-apens dans la forêt d'Halatte (Oise) près de Senlis, au journaliste de Minute Jacques Tillier. Après l'avoir emmené dans les profondeurs d'une cave à champignons, Mesrine le torture, le met à nu, le tabasse et le blesse grièvement par trois balles en lui tirant dans la joue (« pour l'empêcher de dire des conneries »), le bras (« pour l'empêcher d'écrire des conneries ») et la jambe (« par simple plaisir », affirmera-t-il plus tard). Il le laisse pour mort. Mesrine reprochait à ce journaliste de l'avoir diffamé en écrivant qu'il n'était pas une personne « réglo » avec ses associés et que c'était un bandit sans honneur, en août 1979. Fin octobre 1979, Emmanuel Farrugia (commandant de police) et Paul Rément (capitaine de police), hommes du commissaire divisionnaire Lucien Aimé-Blanc, chef de l'Office central pour la répression du banditisme (OCRB), repèrent l'appartement de Mesrine rue Belliard, dans le 18e arrondissement de Paris. Ceci est rendu possible par le biais d'un indicateur (donné par Jacques Tillier qui voulait se venger) qui dénonce Charlie Bauer comme complice actif de Mesrine, et grâce aux écoutes des coups de téléphone que Charlie Bauer passait à Jacques Mesrine. Le 2 novembre 1979 à 15 h 15, Mesrine, au volant de sa voiture avec sa compagne Sylvia Jeanjacquot, est encerclé par les hommes de la BRI, porte de Clignancourt à Paris. Un camion bâché, qui s'est inséré devant son véhicule, dissimule des policiers qui ouvrent le feu. Vingt et une balles sont tirées. L'autopsie constatera la présence de dix-huit impacts de balles à haute vélocité sur son corps. Il est tué en possession de grenades et d'armes de poing dissimulées aux pieds de sa compagne. Celle-ci, grièvement blessée au bras, perd aussi un il dans la fusillade et son caniche est tué. Jacques Mesrine est enterré au cimetière nord de Clichy, sa ville de naissance. Sa BMW 528i marron métallisée, immatriculée 83 CSG 75 (Sylvia Jeanjacquot raconte l'achat dans son livre Ma vie avec Mesrine, éd. Plon 2011), reste sous scellés de justice vingt-huit ans, dans une fourrière à Bonneuil-sur-Marne, avant d'être broyée dans une casse d'Athis-Mons le 14 mai 2007. Bel exemplaire auquel on joint : 1 Lettre autographe de MESRINE Jacques écrou 1-17 N°167871 42 Rue de la Santé Paris 14e (Prison de la Santé), du vendredi 1er juin 1973 (n°26) 2 pages in folio écrites au stylo à bille bleu. Tout au long de leurs échanges Jacques Mesrine se faisait appeler Bruno et Jocelyne Deraiche se faisait appeler Joyce. Jacques Mesrine écrit à son amour du moment Jocelyne Deraiche : "Ma catastrophe chérie !! Bonjour ma poupée d'amour, comment vas-tu ma petite chérie, moi je vais très bien en ce jour car j'ai reçu deux très belles lettres de toi. [.] J'ai reçu tes deux photos nature et je les aime bien car là c'est réellement toi et en regardant tes cheveux je repense au temps où je glissais mes doigts dedans pour te caresser la tête. [.] Je regarde le temps qu'il fait dehors, ce n'est pas croyable d'avoir un temps aussi môche ! Malgré que pour moi ça ne change rien. Comme cela Smadja t'appelle Catastrophe ! c'est pas vrai mon bébé t'es pas une catastrophe !! t'es juste un petit, mais très petit ouragan ! [.] Je regarde tes deux photos, Signé par l'auteur.

  • Image du vendeur pour Longue lettre de prison à son amante, évoquant les séances au parloir et l'avancement L'Instinct de mort, dont il cite un saisissant passage mis en vente par Le Manuscrit Français

    Jacques MESRINE

    Date d'édition : 1976

    Vendeur : Le Manuscrit Français, Versailles, France

    Membre d'association : ILAB

    Évaluation du vendeur 4 sur 5 étoiles Evaluation 4 étoiles, En savoir plus sur les évaluations des vendeurs

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    Manuscrit / Papier ancien Edition originale Signé

    Gratuit expédition depuis France vers Etats-Unis

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    Pas de couverture. Etat : Bon. Edition originale. MESRINE, Jacques (1936-1979) Lettre autographe signée « ton viejo » à sa maîtresse Jeanne Schneider [Prison de Fleury-Mérogis], 12 novembre [19]76, 2 pp. in-4°* Foliotée « N°3 » par Mesrine Longue lettre de prison à son amante, évoquant les séances au parloir et l'avancement L'Instinct de mort, dont il cite un saisissant passage « Bonsoir mon ange ce soir avalanche de lettres de toi la n°4, 5 et mercredi 10/11 sans numéro [Il évoque son entrevue au parloir avec fille Sabrina et de sa mère] Je vois mon ange que tu commences à bien t'installer. Tu vas voir que tu vas retrouver ton calme une fois chez toi [] Comme cela ton piaf est mort. C'est le changement de vie qu'il l'a tué ou l'âge ! Il est au moins sûr de ne pas retourner en prison (lui). Tu as dû avoir ta larme ! et je le comprends, on s'attache à ces petits compagnons de détention qui sont moins cons que les humains. Autrement tout va bien. Je fais un effort pour terminé [sic] ce maudit bouquin [son ouvrage L'instinct de mort, qui paraîtra en février 1877] que je trouve mauvais. J'ai par contre fait une réflexion sur la violence face à la société qui n'est pas tendre. Si mon livre est publié c'est la "gada" à coup sûr le docteur Guillotin va avoir un client sérieux, c'est la seule chose qui peut me faire perdre la tête après mon amour pour toi. A un moment j'ai écrit "si j'ai toujours tiré le premier, c'est qu'entre la prison et le cimetière, j'ai fait mon choix. On ne s'évade pas d'un cercueil d'une prison si !". Oui je suis dingue, par contre je me suis bien amusé à l'écrire parfois. J'espère te voir mardi car nous avons énormément de problèmes à régler. Voilà ma puce ! [] Petite fille, je termine en posant de doux bécots sur tout ce qui est toi eh oui ! "libertard" je t'adore toujours quelle sentence à vie. cet amour [] Te quiero, ton viejo. » Jacques Mesrine rencontre Jeanne Schneider en 1968. Elle est une call-girl, dont les souteneurs ont été abattus par Mesrine, selon ses dires. Après plusieurs larcins commis en Europe, ils fuient au Québec et poursuivent leurs activités criminelles. Ils passent plusieurs années en prison, et ce malgré l'acquittement du couple suite au meurtre d'Évelyne Le Bouthilier (patronne d'un motel à Percé où le couple Mesrine-Schneider avait résidé le soir de l'assassinat). Rentrée en France pour purger sa peine à Fleury-Mérogis au début de 1973, Jeanne apprend que Mesrine vient d'être arrêté à Boulogne-Billancourt et condamné à 20 ans de prison. Les deux amants entretiennent dès lors une correspondance amoureuse. Fatiguée de cette vie de gangster, Jeanne Schneider fini par se ranger et rompre alors que lui est toujours en prison. Mesrine ne s'arrête pas, condamne avec acharnement ses conditions de détentions et s'évade. Il tombe sous les balles de la BRI après 16 mois de cavale, le 2 novembre 1979, à l'âge de 42 ans. Provenance : Succession Jeanne Schneider. Signé par l'auteur.

  • Image du vendeur pour Lettre d'amour autographe datée et signée de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis et adressée à sa compagne Jeanne Schneider enrichie d'un dessin original représentant un bouquet de fleurs : "Je t'aime ma puce. mais cette détention me rend dingue, tellement je me sens impuissant devant la connerie ! " mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    EUR 2 875

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    Pas de couverture. - Fleury-Mérogis 29 Décembre 1976, 21 x 29,5 cm, une page recto verso. - Lettre autographe signée de Jacques Mesrine, datée du mercredi 29 décembre 1976, 66 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. En angle supérieur gauche de la lettre, Jacques Mesrine a dessiné, aux feutres multicolores, un bouquet de fleurs. Une pliure horizontale inhérente à la mise sous pli, une petite déchirure en marge droite de la missive au niveau de la pliure. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, se réjouit de recevoir autant de preuves d'amour et d'amitié dans les nombreux courriers que lui adressent ses proches. A son tour, il répondra à tous ses correspondants et plus particulièrement à madame Panco qui a fait preuve d'une grande humanité pour Jeanne Schneider: "Je vais envoyer mes voeux à madame Panco, comme je le fais chaque année. car je n'ai pas oublié ce que cette femme a fait pour toi. c'est une "femme de respect" doublée d'une personne très humaine. Il y en a dans l'administration (c'est rare)" L'indomptable Mesrine est plein de tendresse et de délicatesse pour Jeanne Schneider : "Je t'ai fait un petit bouquet de fleurs. pour me faire pardonner d'être si désagréable avec toi en ce moment." mais ne souhaite pour rien au monde changer et se soumettre aux volontés de quiconque : "que veux-tu je deviens un vieux con avec un maudit caractère. mais je suis comme je suis et n'ai pas l'intention de changer. ou alors je ne serais plus moi. Je vais te dire une chose mon ange. que mon bouquin marche ou pas. je m'en fouts. il n'est pas question pour moi de le reprendre à zéro pour le rendre plus doux." L'ennemi public N°1 se montre scandalisé par le traitement que lui réserve l'administration pénitentiaire après la publication de son ouvrage polémique "L'instinct de mort" : "En France la vérité fait peur. En ce moment je ne sors plus en promenade. . 24 heures sur 24 dans ma cellule. c'est le pied ! La réforme quoi ! Que veux-tu que je fasse dans cette cour à la con par un froid pareil. Par contre j'ai la super forme ! " Il ne désespère pas d'obtenir une prochaine libération ou de recouvrer la liberté bientôt au grand dam de toutes les personnes qui préfèrent le voir bien enfermé : "ll va falloir que je demande une permission de. 10 ans. mais si ce jour arrive. combien vont faire dans leur slip. un bon nombre de grandes gueules qui profitent que je sois encagé pour jouer les "macs" mais moi libre. il n'y a plus de "macs". c'est beau de rêver." Mais il évoque aussi toute la joie qu'il aura de revoir sa chérie tout prochainement même si sa condition de prisonnier lui pèse et le révolte de plus en plus : "J'espère que nous allons enfin retrouver notre sourire, je vais être le vrai petit mec adorable. enfin presque ! Je t'aime ma puce. mais cette détention me rend dingue, tellement je me sens impuissant devant la connerie ! " Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle il fait montre de toute l'intense affection qu'il porte à sa compagne et du fort ressentiment qu'il nourrit à l'égard du système carcéral. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Autograph letter signed by Jacques Mesrine, dated Wednesday 29 December 1976, addressed to Jeanne Schneider, his love interest of the time. She smuggled out of prison the manuscript of his famous autobiography L'Instinct de mort. 66 lines in blue ink on two pages of a leaf. In the top left-hand corner of the letter, Jacques Mesrine has drawn a bouquet of flowers in multicoloured felt-tip pens. Usual horizontal fold, small tear to the fold in the right-hand margin. Jacques Mesrine, who was in Fleury-Mérogis prison at the time, was delighted to receive so much proof of love and friendship in the many letters he received from his friends and family. He, in turn, replied to all his correspondents, and in particula.

  • Image du vendeur pour Lettre d'amour autographe datée et signée de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis et adressée à sa compagne Jeanne Schneider pour qui il vient de trouver un logement après sa prochaine libération : ".Enfin cela est un gros poids d'enlevé pour toi. Tu te retrouveras chez toi dans un décor que tu as aimé" mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    EUR 2 070

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    Pas de couverture. - Fleury-Mérogis 21 Septembre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. - Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du mardi 21 septembre1976, 68 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Une pliure horizontale inhérente à la mise sous pli, une petite déchirure en marge droite de la missive au niveau de la pliure. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, s'est arrangé avec sa mère pour qu'elle cède, à son départ de la région parisienne, son appartement de Clichy, à Jeanne Schneider après sa possible liberté provisoire : "J'ai eu un très agréable parloir avec maman. J'ai au moins une bonne nouvelle à t'annoncer. Pour Clichy c'est d'accord. Comme elle va vivre presque tout le temps à la montagne tu auras l'appartement pour toi. Je paierai le loyer. Elle a tout de suite dit d'accord après mon explication. [.] Je me doute de ta joie, de savoir que tu pourras vivre à Clichy - si près de notre papy. toujours présent de par l'amour que nous avons pour lui. Je suis certain que cette petite nouvelle te remonte le moral." Sa fille Sabrina l'inquiète et il pressent qu'il devra se montrer sévère vis à vis de ses écarts de conduite : "De Sabrina rien ! Il y a une chance pour qu'actuellement elle me prépare un "douze" je ne peux t'en parler sur lettre. mais j'ai l'impression que la puce me ment sur certaines choses. elle prend peut-être une route où il va me falloir la plus grande fermeté. J'ai demandé à maman de vérifier si elle va bien à l'école." Des nouvelles de son "filleul" le célèbre braqueur Jean-Charles Willoquet, avec qui il organisa son évasion de la prison de la Santé où ils s'étaient connus, le rendent plus fier : "J'ai reçu la photo du plus jeune détenu de France à savoir mon filleul "Willy Willoquet" dans sa cour de promenade. c'est émouvant et triste à la fois !" La situation de son jeune protégé coupé de tout contact avec ses proches et les gens qui l'aiment, lui rappelle sa propre situation personnelle et les avanies de l'existence isolée d'un prisonnier : "Je me demande comment va réagir Martine quand on va lui enlever ? Enfin c'est le destin qu'elle a choisi et accepté. Elle paie cher le prix de l'amour. Vous le payez toutes "très cher"." Afin de vite effacer cette morose et implacable vérité, Jacques Mesrine plonge dans l'humour potache et se moque affectueusement des défauts physiques de son amour : "J'espère que la bonne nouvelle va te rendre ton sourire. eh ! la mémé. boutons sur la gueule. ou pas ! Je t'adore. il ne fallait pas flirter avec "voyou" ! C'est lui qui t'as passé cela (sic) nanou d'amour, ton viejo pirate monte à l'abordage de tes lèvres. et. !! tu coules ! " Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle il fait montre de toute l'intense affection qu'il porte à sa compagne et des forts sentiments dont il entoure les gens qu'il aime. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

  • Image du vendeur pour Mesrine ne décolère pas contre Robert Badinter suite l'objection de ce dernier de la parution de L'Instinct de mort - L'Ennemi public numéro 1 n'en est pas moins enthousiaste des premières retombées positives de la part des journalistes et compte sur un vaste succès éditorial mis en vente par Le Manuscrit Français
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    Pas de couverture. Etat : Bon. Edition originale. MESRINE, Jacques (1936-1979) Lettre autographe signée « EL VIEJO » à sa maîtresse Jeanne Schneider
Prison de Fresnes, « QHS » 3 mars 1977, 2 pp. in-4° Mesrine ne décolère pas contre Robert Badinter suite l'objection de ce dernier de la parution de L'Instinct de mort - L'Ennemi public numéro 1 n'en est pas moins enthousiaste des premières retombées positives de la part des journalistes et compte sur un vaste succès éditorial « J'ai fait une lettre à Badinter pour le remettre à sa place ! car j'accepte la critique mais pas d'un type comme lui »
 « Bonsoir chaton. Ce matin à la radio RTL très bon ce qui a été dit par un journaliste. Il est certain que ce sera un succès littéraire il a même ajouté que déjà dans les salons on parlait de "L'Instinct de mort" [] J'ai fait une lettre à Badinter pour le remettre à sa place ! car j'accepte la critique mais pas d'un type comme lui, qui en plus est payé pour défendre Michel (je crois) [Adrouin, jadis complice de Mesrine]. Samedi tu me diras les premières réactions. J'attends avec impatience les résultats sur le Canada [] Je voudrais que ça marche pour voir la gueule à [Henri] Lafont et ses regrets ! Lattès me plait, car c'est un "battant" qui fonce en édition nous avons eu raison de le choisir [] Je m'attends à des critiques terribles et même des lettres d'insultes (si elles sont signées ! je les lis toujours). En as-tu donné à tes amies ? Tu me diras les réactions OK. [] Ce matin en me réveillant je trouvais que ma cellule avait une bonne odeur c'est ton parfum ma puce ! Très agréable C'est un peu toi que je respire ! oui. avec de la patience ! et j'en ai pour ça et surtout une très grande confiance en l'avenir [] Il faudra secouer les avocats pour que ça bouge. Nous ne demandons rien d'exceptionnel. Nous désirons un représentant du ministère en audience et une amélioration de notre détention, car nous ne sommes pas là pour 2 mois ! avec nos sentences à vie ! Autrement tout est OK, je suis un peu fatigué ce soir et la tête vide eh oui ! il n'y a pas que toi mon ange.
Je te vois samedi, tout sourire !
Ton vieux voyou pose sur tes lèvres de doux bécots d'amour. Bonne nuit mon ange.
Te quiero. El VIEJO » Jacques Mesrine rencontre Jeanne Schneider en 1968. Elle est une call-girl, dont les souteneurs ont été abattus par Mesrine, selon ses dires. Après plusieurs larcins commis en Europe, ils fuient au Québec et poursuivent leurs activités criminelles. Ils passent plusieurs années en prison, et ce malgré l'acquittement du couple suite au meurtre d'Évelyne Le Bouthilier (patronne d'un motel à Percé où le couple Mesrine-Schneider avait résidé le soir de l'assassinat).
Rentrée en France pour purger sa peine à Fleury-Mérogis au début de 1973, Jeanne apprend que Mesrine vient d'être arrêté à Boulogne-Billancourt et condamné à 20 ans de prison. Les deux amants entretiennent dès lors une correspondance amoureuse. Fatiguée de cette vie de gangster, Jeanne Schneider fini par se ranger et rompre alors que lui est toujours en prison. Mesrine ne s'arrête pas, condamne avec acharnement ses conditions de détentions et s'évade. Il tombe sous les balles de la BRI après 16 mois de cavale, le 2 novembre 1979, à l'âge de 42 ans. Provenance :
Succession Jeanne Schneider. Signé par l'auteur.

  • Image du vendeur pour Lettre d'amour autographe datée et signée de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis et adressée à sa compagne Jeanne Schneider à propos du combat pour sa liberté provisoire : "Mais le plus important est que tu retrouves cette pute de liberté. Après ce sera aux avocates de jouer pour un régime plus souple. Je te parle comme si tu étais déjà libre.Que "veux-tu" j'y crois. [.] Je lutte et je lutterai toujours pour toi car je t'aime." mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    Pas de couverture. - Fleury-Mérogis 18 Octobre1976, 21x29,5m, une page recto verso. - Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du lundi 18 Octobre1976, 68 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, tient à rassurer son amour à qui il vient en aide, grâce à ses avocates, afin qu'elle obtienne une liberté privisoire : "C'est que je sens que cela va être bon et cela malgré que les avocates m'avaient déconseillé de le faire. tu sais que je fais de la prémonition (mais dans le bon sens). Je sais que ma lettre les fait réfléchir. cela j'en suis certain. C'est la première fois que j'interviens pour toi. Ca aussi a de l'importance." et grâce à qui elle devrait recouvrer la liberté : "Mais le plus important est que tu retrouves cette pute de liberté. Après ce sera aux avocates de jouer pour un régime plus souple. Je te parle comme si tu étais déjà libre.Que "veux-tu" j'y crois." Débordant d'enthousiasme et de certitude pour le succès de ces démarches regardant la liberté provisoire de Jeanne et sûr du poids de son intervention, l'indomptable Mesrine fulmine à l'idée d'un hypothétique refus des autorités carcérales : "Quel affreux pirate qui te donne de l'espoir. Non mon ange, je ne sais absolument rien. Sauf que le Président a dit que je le menaçais sur ma lettre. J'ai été très dur et à juste raison, car la plaisanterie a assez durée. Toi tu supporteras ton refus. moi je ne l'accepterai plus. C'est pas plus compliqué que cela. Car tu as assez payé. même trop." L'ennemi public N°1 en profite encore pour briser cette réputation de fauve sanguinaire qui lui colle à la peau : "Si les journalistes savaient que toutes les infirmières entraient seules dans ma cellule et en toute confiance, on serait loin du "fauve" et de la prise d'otages à la Buffet. Les infirmières ont toujours été sacrées pour moi. Elles sont intouchables comme pas mal d'autres personnes, mais cela les pédés de journalistes l'ignorent ; car ils ne sont pas dans mes pensées et c'est regrettable parfois. " Jacques Mesrine évoque la réalisation de son ouvrage L'instinct de mort et sa santé de manière fataliste : "Autrement tout est ok, sauf mes douleurs au coeur qui me reprennent. mais je laisse faire, car je n'aime pas prendre de médicaments. Et puis le mécanisme s'arrêtera le jour "J" du destin. Peut-être dans tes bras. qui sait ? Il termine sa lettre toujours plein d'espoir pour la libération prochaine de sa bien-aimée : "Ce qui compte pour moi c'est de te voir libre et fini les folies, car je ne veux plus te voir retourner en prison. Je n'ai besoin que de ton amour. Le reste, c'est mon affaire. [.] Je t'adore vivement que l'on ouvre ta cage. Bonne nuit chaton et garde confiance ok." Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle il démontre toute sa farouche ardeur et son indestructible conviction dans son combat pour la libération de sa bien-aimée. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

  • Image du vendeur pour Belle lettre d'amour autographe datée et signée de Jacques Mesrine, toute empreinte de révolte contre les journalistes et pleine d'admiration pour les infimières, écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis et adressée à sa compagne Jeanne Schneider : "une énorme surprise ! tu ne devineras jamais qui est venu me voir ! Mon infirmière de la santé. oui ma puce. cette charmante dame aux cheveux blancs que tu avais vu au parloir à la santé et qui doit être notre témoin à notre mariage [.] C'est une femme exceptionnelle, ancienne infirmière militaire et assez bien placée au ministère. Pendant mes 2 ans et demi à la santé je l'ai considérée comme une mère, cette femme est dévouée, que cela n'en est pas pensable. Malheur à celui qui toucherait un seul de ses cheveux." mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    Pas de couverture. - Fleury-Mérogis 22 Septembre1976, 21x29,5m, une page recto verso. - Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du samedi 22 Septembre1976, 67 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis et privé de chaleur humaine, s'enthousiasme de toutes les visites qu'il reçoit au parloir, battant ainsi en brèche le mythe du bandit asocial et denué de sentiments humains : "Et après cela on dira que je suis un sauvage ! non justement et les gens qui ont eu un contact avec moi, désirent me revoir. Cela m'a fait un immense plaisir et sais-tu la suite. elle va demander aussi pour te voir. Parait-il que je suis regretté par les infirmières "monsieur sourire" voilà le secret." Il a apprécié tout particulièrement la visite de l'infirmière de la prison de la Santé qui sera également leur témoin de mariage avec Jeanne Schneider et qu'il encense : ". une énorme surprise ! tu ne devineras jamais qui est venu me voir ! Mon infirmière de la santé. oui ma puce. cette charmante dame aux cheveux blancs que tu avais vu au parloir à la santé et qui doit être notre témoin à notre mariage [.] C'est une femme exceptionnelle, ancienne infirmière militaire et assez bien placée au ministère. Pendant mes 2 ans et demi à la santé je l'ai considérée comme une mère, cette femme est dévouée, que cela n'en est pas pensable. Malheur à celui qui toucherait un seul de ses cheveux." L'ennemi public N°1 en profite encore pour briser cette réputation de fauve sanguinaire qui lui colle à la peau : "Si les journalistes savaient que toutes les infirmières entraient seules dans ma cellule et en toute confiance, on serait loin du "fauve" et de la prise d'otages à la Buffet. Les infirmières ont toujours été sacrées pour moi. Elles sont intouchables comme pas mal d'autres personnes, mais cela les pédés de journalistes l'ignorent ; car ils ne sont pas dans mes pensées et c'est regrettable parfois. " Jacques Mesrine le révolté se surprend à apprécier sa solitude carcérale : "Sais-tu que je commence à me plaire ici. Quel calme tu sais manou, mon isolement je le supporte dans la mesure où j'ai la paix. En détention il n'est pas prouvé que je l'aurais. C'est de me réactions que j'aie peur. et la mentalité des prétendus truands est de plus en plus dégueulasse ! [.] dans mon isolement, il y a du bon et du mauvais. mais personnellement je ne veux pas me plaindre. car il n'y a pas de motif à le faire." et achève sa lettre par des considérations paternelles pour sa fille peu assidue à l'école et pour laquelle il se fait du mouron : "Je vais savoir si Sabrina a été régulièrement à ses cours. je fais le voeu que oui car si le cas contraire se présentait. pas de pitié cette fois-là. Mais que de souci peut représenter cette môme et quelle impuissance j'ai à la contrôler en étant ici !" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine débordant de révération pour la corporation des infirmières et de regrettable détestation pour celle des journalistes. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

  • Image du vendeur pour Belle lettre autographe datée et signée de révolte de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis adressée à sa compagne Jeanne Schneider : "j'ai eu la visite du juge Madre. Tu aurais rigolé, car il a eu droit à tout mon vocabulaire." mis en vente par Librairie Le Feu Follet

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    Pas de couverture. - Fleury-Mérogis 2 Décembre1976, 21x29,5m, une page recto verso. - | "Le pire que l'on puisse faire à un juge, c'est lui enlever toute autorité devant les autres et crois moi il l'a bien compris" |* Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du jeudi 2 Décembre 1976, 65 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, se sent mal et démuni loin de sa compagne et de toute chaleur humaine : "Ce soir je suis très mal foutu. il est 19 heures et je me couche juste après la fin de ta lettre. de rien de grave. juste une grande fatigue (à rien faire)" En bon père, Jacques Mesrine se réjouit du bonheur de sa fille : "Je suis heureux que sa veste lui plaise. de plus c'est la mode. son Loïc chéri ne va plus la reconnaître." et ne se montre pas plus étonné et plutôt amusé que sa fille veuille embrasser la religion juive : "Comme cela la puce veut prendre la religion juive. encore une idée à elle. oui je sais elle a fait croire à ses copains qu'elle était juive. car eux l'étaient.si cela l'amuse je la laisse libre. mais ça démontre aussi un dédoublement de personnalité." L'ennemi public N°1 évoque avec une certaine fierté sa dernière confrontation avec son juge, farouche revanche de l'insoumis contre l'univers pénitentionnaire qui broie les hommes : "Aujourd'hui j'ai eu la visite du juge Madre. Tu aurais rigolé, car il a eu droit à tout mon vocabulaire. il en perdait la parole (j'ai pris mon pied (sic)) A un moment il me dit "mais c'est quand même moi qui commande. Réponse de ton bibi : "Ici pédé" c'est moi ton patron". Il était vert et les flics se marraient comme des perdus." et contre toute soumission à une quelconque forme de pouvoir ou de violence : "Le pire que l'on puisse faire à un juge, c'est lui enlever toute autorité devant les autres et crois moi il l'a bien compris. Il était venu avec 5 anti-commandos. L'un avait la bombe de gaz à la main. au cas où? Loin d'être impressionné. cela me rend con." L'éternel indigné achève sa lettre par un beau témoignage de tendresse pour sa bien-aimée : "Là ma puce je vais prendre mon lit en marche.Ton vieux voyou pose ses lèvres sur le tiennes en une douce caresse d'amour. je t'adore petite fille. car nous sommes réellement le "couple" et plus encore. Bonne nuit chaton." Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine toute empreinte de révolte et d'insoumission. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

  • Image du vendeur pour Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis adressée à sa compagne Jeanne Schneider alors incarcérée et qui pourrait être prochainement libérée : "Je ne veux plus te voir en prison car toi dehors c'est un peu de moi même qui sera libre. Tu donnes une parole pour cette liberté. prouve que nous autres, la tenons toujours en bien comme en mal. C'est ce qui nous unit le plus ; voyous, dangereux ?. mais droits" mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    Pas de couverture. - Fleury-Mérogis 21 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. - Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du jeudi 21 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, se réjouit d'avoir pu s'entretenir au parloir avec sa bien-aimée également emprisonnée : "Quel très agréable parloir, tu étais en plus très féminine dans cet ensemble qui est bien dans ton style de femme. même le double du prix car il me plaît" et tente de la rassurer afin qu'elle ne perde pas toute pugnacité contre le régime carcéral qui broie les détenus : "Mais si par malheur un nouveau refus te touchait n'aies pas cette mauvaise réaction que tu m'as dite car ceux qui t'entourent et t'ont aidée ne méritent pas de payer l'injustice des autres. Il te faudrra faire face comme toujours. Car les portes s'ouvriront un jour et tu le sais." En patriarche protecteur, Jacques Mesrine s'inquiète du désespoir qui pourrait la frapper elle et sa fille Murielle placée à la DASS : "Mais pour toi je m'en fais énormément, car tu as une limite. et je crois que tu l'as atteinte ! ou presque. Au sujet de Mury et de cette juge bidon. nous verrons pour la retirer de la Dasse. je préfère payer ses études et madame Chevallier et tout son entretien s'il le faut. Si tu sors ! Dis-moi. que de femmes à entretenir. j'ai intérêt à faire des heures supplémentaires (sic)" L'ennemi public N°1 évoque la prochaine liberté de Jeanne Schneider en lui intimant de ne plus retomber dans la criminalité : ".Si tu sors interdiction formelle de t'occuper de moi sur un plan que nous comprenons très bien tous les deux. Je ne veux plus te voir en prison car toi dehors c'est un peu de moi même qui sera libre. Tu donnes une parole pour cette liberté. prouve que nous autres, la tenons toujours en bien comme en mal" Jacques Mesrine loue la droiture de sa compagne, clef de voûte de leur union forte à travers la privation de liberté : "C'est ce qui nous unit le plus ; voyous, dangereux ? mais droits. C'est ce qui fait que je t'aime, avec toi pas de surprises désagréables ; tu es "blanc-bleu" et pour moi tu as bien la valeur du diamant. C'est la seule pierre qui est plus dure que l'acier (sic). mais moins dure que moi (resic)" Il termine cette missive par cette note d'humour traduisant la terrible réalité intrusive du système pénitentiaire : "Et si mon colis de Noël est préparé par toi. l'administration va le passer aux rayons X" mais aussi par ces tendres mots : "De doux décots se posent sur tes lèvres. geste d'amour qui nous unit depuis toujours et pour longtemps. EL VIEJO Bandido !" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle on le découvre protecteur et avide de liberté pour sa compagne et pour qui la franchise doit être érigée en règle de vie. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

  • Image du vendeur pour Lettre autographe écrite depuis la prison de la Santé datée et signée de Jacques Mesrine adressée à sa compagne Jeanne Schneider qu'il surnomme Nanou d'amour : "Il n'y a pas de cause perdue d'avance. Dans la vie il faut se battre jusqu'au bout. tu sais pourtant ce que cela représente. Tu vois, moi je vais au maximum ! et pourtant je vais me défendre toutes dents dehors. Car ma liberté il faudra me la prendre. Je ne la donnerai pas faute de combat !" mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    Pas de couverture. - Paris 12 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. - Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du mardi 12 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine alors incarcéré à la Santé se montre d'une grande tendresse et se dévoile sous un autre jour, celui de l'amoureux affectueux et attentionné : "Bonsoir petite fille. tu aimes bien jouer "au St Bernard", tu ne changeras jamais à ce sujet. C'est toi qui a 7 ans 1/2 de taule et tu dois remonter le moral des "gamines" qui ont joué du calibre !" Il encense et s'étonne un peu de la dévotion de sa compagne pour un couple de jeunes criminels : "Tu me parles d'une sentence de 20 ans pour elle ! tu rigoles ou quoi. elle ne peut pas prendre plus de 8 ans je la vois plutôt avec 5 ou 6, si les choses s'arrangent. Son mari avec 20 ans au maximum." et tente de lui transmettre tout son optimisme, sa pugnacité et de lui remonter le moral : "Tu sais, ma puce; quand tu m'écris que la cause de Michou, est une cause perdue d'avance je ne te comprends plus. Il n'y a pas de cause perdue d'avance. Dans la vie il faut se battre jusqu'au bout. tu sais pourtant ce que cela représente. Tu vois, moi je vais au maximum ! et pourtant je vais me défendre toutes dents dehors. Car ma liberté il faudra me la prendre. Je ne la donnerai pas faute de combat !" Jacques Mesrine évoque également son amour des courses hippiques tout en se targuant d'être un spécialiste des paris : "Oui j'avais joué "Dernier tango" mais seulement à la place. J'avais 2000frs dessus, je gagne donc 6000frs. Ce n'est pas de la chance, mais un savant calcul. Il m'arrive de perdre mais avec ma méthode, je suis obligé d'être gagnant. Forécement pour la suivre il faut un certain capital. J'ai mis plus d'un an à faire tous les calculs de probabilité. Cela doit me rapporter à peu près 7000frs par mois. Net d'impots (sic)." Il ironise sur sa situation de prisonnier disposant de beaucoup de temps pour échaffauder ses stratégies de gains pécuniaires : "J'ai aussi mis au point une méthode pour le jeu de baccara. Que veux-tu. j'ai le temps de calculer un tac de choses (sic !) Tu me comprends ? . L'administration aussi ! (resic). " mais déplore son impossbilité à poursuivre l'écriture de l'Instinct de mort : ". je suis actuellement incapable d'écrire une page de mon bouquin. je ne sais pas comment tourner ce passage-là. enfin je vais bien trouver la solution." Jacques Mesrine achève cette belle lettre par une émouvante déclaration d'amour toute d'espoir et d'avenir et toute empreinte d'une certaine innocence: "Nanou d'amour. Votre futur "z'époux" qui pour l'instant n'est que votre "vieil amant" pose ses lèvres sur les tiennes en une douce caresse amoureuse. Te quiero & EL VIEJO." Rare et très belle lettre de l'ennemi public N°1 dans laquelle on le découvre animé d'une grande bienveillance, d'un tendre amour pour son aimée et. les courses hippiques. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

  • Image du vendeur pour Lettre autographe signée de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis au soir du Réveillon du 31 Décembre 1976 adressée à sa compagne Jeanne Schneider qu'il surnomme Nanou d'amour à propos de la parution de son livre l'Instinct de mort: "Tu sais j'ai bien réfléchi pour le bouquin. il doit y avoir veto quelque part. car s'il était publié cela retarderait mes procès ou un truc dans ce genre." mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    Pas de couverture. - Fleury-Mérogis 31 Décembre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. - Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du vendredi 31 Décembre 1976, 70 lignes environ à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, s'interroge sur les difficultés qu'il pourrait rencontrer si son Instinct de mort paraissait bientôt et chez quel éditeur suffisamment courageux il pourrait être édité : "Je vais voir avec mon avocate pour les "presses de la cité" car je crois que l'on peut tirer un trait sur Simone. De toute façon il sera publié par celui acceptera d'en courir le risque (sic)" Il conseille aussi sa bien-aimée sur ses conditions de travail : "Au sujet de ton boulot. j'espère que tu as discuté avec ta patronne, car les horaires ne sont pas légaux. ne te laisse pas faire à ce sujet. Vis à vis du procureur tu es obligé de travailler. cela ne veut pas dire être esclave au boulot." et s'inquiète pour l'avenir de sa fille Sabrina : "Demain j'espère la visite de la puce. je vais avoir une très sérieuse conversation avec elle au sujet de l'avenir. Car elle ne fait rien en classe. donc le mieux pour elle est de travailler pour obtenir un CAP en quelque chose. Elle veut jouer les adultes. alors, il va falloir qu'elle se conduise en adulte." L'ennemi public N°1 évoque la nouvelle année à venir : ".l'année nouvelle qui s'annonce. que nous réservera-t-elle. je l'ignore mais rien de bon si la logique se fait loi. cela ne m'empêchera pas de garder mon moral." Jacques Mesrine, seul dans sa cellule au soir du réveillon du 31 décembre, termine cette belle lettre par d'affectueuses pensées pour Jeanne Schneider : "Ce soir j'ai la tête un peu vide. tu comprends mais j'ai le coeur plein de toi et c'est cela qui compte. je vais me mettre dans les draps et penser à toi. Ton vieux voyou pose de tendres bécots sur tout ce qui est toi. Bonne nuit chaton. Te quiero." et par cette note d'humour : ".tu connais cette blague : c'est une femme condamnée mort. arrivée devant la guillotine elle embrasse le verre que l'on vient de lui servir. Le procureur demande : "elle est folle, que fait-elle". L'avocat lui répond "elle embrasse son dernier rhum" (sic) Pas mal hein. un petit sourire ma puce." Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle on le voit préoccupé par l'avenir de sa fille, où il se montre conseiller syndical et soucieux pour la parution de son ouvrage l'Instinct de mort. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

  • Image du vendeur pour Lettre autographe écrite depuis la prison de la Santé datée et signée de Jacques Mesrine adressée à sa compagne Jeanne Schneider qu'il surnomme Nanou d'amour : "J'ai reçu une lettre de Betty qui me remercie, car je lui ai offerte une mobylette. Pourquoi me diras-tu ? Tout simplement parce que j'aime voir les enfants heureux et je crois que leur bonheur m'est nécessaire. Cette môme me plaît de par sa mentalité." mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    Pas de couverture. - Paris 11 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso. - Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du lundi 11 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la Santé, couvre de cadeaux les personnes qu'il aime car il veut leur bonheur : "Comme cela j'ai payé une mobylette à mes trois gamines. Toi ce sera une quatre roues (sic)." Il fait montre de toute son affection pour une jeune fille prénommée Betty qu'il semble plus chérir que sa propre fille Sabrina : "Peut-être que je recherche en Betty ce que je ne trouve pas en Sabrina et que Mury m'a refusé ! Tu sais mon ange ; à 15 ans j'aurais tellement aimé avoir un copain de 40 ans à qui je puisse tout dire, qui sache m'aider ou m'offrir mon rêve. Peut-être que ce cadeau, je me le fais à moi-même." pour laquelle il n'a plus aucune confiance, s'estimant trahi : "Mais on ne devient jamais l'ami de quelqu'un qui vous juge. Pas plus que pour Sabrina ! qui elle m'a trompé dans ma confiance donc dans mon amour. Quand on use les sentiments, ils ne redeviennent jamais les mêmes." L'ennemi public N°1 est tout à la fierté de sa relation avec Jeanne Schneider basée sur la franchise : "C'est peut-être pour cela que je me suis toujours refusé à te mentir - quitte à te faire souffir. Je n'ai aucun passé.mais un seul présent "Toi". C'est peut-être cela qui fait que notre amour dure depuis 10 ans " Jacques Mesrine bascule ensuite dans les considérations matérielles, si importantes pour un prisonnier : "J'ai reçu ton linge. Je ne risque pas d'avoir froid cet hiver. Le polo est très bien." avant de fustiger l'inhumanité du régime carcéral et son indifférence à la souffrance : "Mais nous n'avons rien à attendre des juges et si ma lettre au président a été ferme, c'est le genre de lettre qu'il comprendra mieux que le style ventre à terre." En éternel indompté, Jacques Mesrine ne cesse de préconiser la lutte contre l'administration pénitentiaire : "On ne se défend pas en mettant sa tête dans le sable comme l'autruche ! Dès l'instant où l'on prend une arme dans la main. il faut s'attendre à payer ! que Michou le comprenne ce n'est pas le moment d'être "bébé" mais celui d'être femme." Jacques Mesrine achève cette belle lettre par une émouvante déclaration d'amour toute empreinte d'un humour optimiste : "Ton vieux tigre pose de doux bécots sur tout ce qui est toi. Bonne nuit chaton et un moral d'acier est de rigueur ok. Je t'adore (chanceuse) & Ton mystère Jacques !! "Te adoro A toi seule." Rare et très belle lettre de l'ennemi public N°1 dans laquelle on le voit toujours aussi pugnace et où on le découvre déçu par sa fille, pris d'affection pour une jeune fille qu'il voudrait considérer comme sa propre enfant, et toujours aussi amoureux de sa compagne. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].