Edité par Galerie Georg Nothelfer, Berlin, 1987
Langue: français
Vendeur : Docsenstock, Paris, France
Couverture souple. Etat : Comme neuf. Michel MACREAU (illustrateur). Edition originale sans grand papier. Michel MACREAU. Peinture-Bilder. Berlin, Galerie Georg Nothelfer, 1987. In-8 (27,5 x 21 cm) broché sous couverture illustrée, 26 reproductions hors-texte en couleurs dont 2 en doubles pages et 4 illustrations photographiques en noir et blanc autour de l'artiste. 66 pages.Textes de Roland H. Wiegenstein (german / français). Extrait d'un texte de Jean-Jacques Lévèque. Provenance : Cachet de la Galerie Jacques Barbier Caroline Beltz Très bel exemplaire en édition originale.
Edité par Milano, Galleria del Naviglio,, Milano, 1962
Vendeur : Studio Bibliografico Marini, ROMA, RM, Italie
loose_leaf. Etat : Molto buono (Very Good). Plaquette della 366ma mostra della Galleria del Naviglio, Milano, 13-23 novembre 1962. Con un testo dell'Artista e una illustrazione in bianco e nero. Nota biografica . Cm 23x16. pp. 4. . Molto buono (Very Good). . . . Book.
Edité par Livorno. Galleria Peccolo., 1989
Vendeur : Antiquariat Querido - Frank Hermann, Düsseldorf, NRW, Allemagne
Erste Auflage. 24 x 17 cm. 24 unpaginierte S. OKarton. Gutes bis sehr gutes Exemplar. Texte in Italienisch. Mit Beiträgen von Marisa Vescovo und Jacques Martineau. Enthält 21 meist farbige Werkabbildungen.
Edité par Galerie Georg Nothelfer, Berlin, 1987
Langue: français
Vendeur : Librairie-Galerie Dorbes Tobeart, PARIS, France
Edition originale
Couverture illustrée. Etat : Comme neuf. Edition originale. Berlin, Galerie Georg Nothelfer, 1987, broché sous couverture illustrée, 66 pp., (27,5 x 21 cm). 26 reproductions hors-texte en couleurs dont 2 en doubles pages et 4 illustrations photographiques en noir et blanc autour de l'artiste. Texte de Roland H. Wiegenstein (german / français). Extrait d'un texte de Jean-Jacques Lévèque. Etat neuf / As new (envoi suivi sous emballage pro).
Edité par Galerie Alain Margaron
Vendeur : Okmhistoire, St Rémy-des-Monts, SARTH, France
Edition originale
Couverture souple. Etat : Comme neuf. Edition originale. Paris 2012. 1 Volume/1. -- Comme Neuf -- Broché cousu. Couverture illustrée. Format 24 x 17 cm . ------- 24 pages; avec 24 reproductions en couleur. *************** "" « Précisons que pour Macréau, il ne s'agit jamais de transcrire un visage réel, la vérité physionomique n'ayant aucune importance, aucun poids, face à la seule vérité qui lui importe, plus générale et poétique, qui est son sentiment de la personne humaine, ou son sentiment d'exister. Si omniprésent, si obsédant soit-il, le visage n'est pourtant que la pointe d'une figuration corporelle proliférante, dynamique et régie par un déroulement narratif : c'est le corps agi par ses fonctions, tant expressives qu'organiques, avec une insistance particulière sur les flux qui le traversent. » « On peut parler en effet d'un véritable acharnement à déconstruire et à réinventer cette forme consacrée entre toutes, ce « noyau dur » de la pensée figurative qu'est le visage humain, et cette dimension de systématique recherche formelle devrait suffire à situer l'artiste à la place qui est la sienne : dans la continuité de la longue tradition artistique, à laquelle il répond en la réfutant, et non dans les parages marginaux de l'Art Brut, où l'on veut parfois le confiner. Artiste conscient de l'histoire et des moyens de son art, Macréau n'a rien à y faire, même s'il est clair que cette catégorie, « inventée » par Jean Dubuffet dans la seconde moitié des années 1940, eut pour lui valeur d'exemple : l'exemple d'une liberté figurative affranchie des codes normatifs de représentation, traditionnels ou modernistes.» « A la différence des artistes que l'on cite souvent, à raison, comme références prégnantes de l'art de Macréau, le Picasso de la dernière période, avec ses autoportraits au regard tétanisant, ou Dubuffet, avec ses figures aplaties et ouvertes, ses figures-champs, Macréau se saisit de chaque trait, chaque composante du visage, qu'il traite en objet autonome, et interprète différemment d'une toile à l'autre. Le visage n'est jamais une unité mais un assemblage de formes dissociées en quête d'une unité nouvelle qui adviendra ou pas, mais sans renoncer à l'exhibition de cette vérité du visage et de l'être faite de désordres, dissymétries, tensions, torsions, ruptures, flux, blessures, cicatrices Pour Macréau, le visage est le champ des opérations organiques et mentales qui se trament dans l'épaisseur de l'être. Ce champ exhibe ses profondeurs, l'intérieur affleure à la surface, selon le principe de « vagabondage organique » (2) qui régit tout son système figuratif. » « ur une éventuelle croyance religieuse de Michel Macréau, nous ne savons rien. On ne peut que constater la présence de signes symboliques, au rang desquels la croix latine. Dans l'ensemble de son uvre, Macréau fait plusieurs fois référence au Christ en croix. Mais il semble que pour lui le Crucifié ait surtout valeur de figure sacrificielle, apte à exprimer, selon un processus d'identification typiquement romantique, le destin de l'artiste sacrifié, et au-delà, le caractère douloureux de la condition humaine. » « Au sein de cet uvre que traversent de part en part les stigmates de la souffrance et de l'angoisse, la figure christique semble valoir pour son dolorisme exhaussé au rang de symbole universel. Quand à la rédemption, elle advient comme elle peut, à la petite semaine, au hasard des chaos et remugles existentiels, à la faveur sans doute de l'activité créatrice, mais elle advient, comme en attestent certaines uvres où la tendresse, parvenue à fleurir dans ce milieu hostile, dans ce ring de la violence d'exister qu'est cette peinture, jaillit alors comme une fontaine de grâce. » « Le symbole chrétien est conjugué à d'autres signes plus ésotériques ; ensemble ils forment une sorte de substrat spiritualiste visant à sacraliser la face, à l'ouvrir, la déplier au-delà d'elle-même, au-delà du pli individuel. A la réinvestir, en l'écartelant, des interrogations abyssales de l'homme arc. *************** ref att 96.