preault auguste (9 résultats)

Etat : Very Good. Etat de la jaquette : None. Text in English and Dutch. 64 pages, illustrated throughout in color and b&w. Clean, tight copy. Record # 458449.

327 Ehemaliges Bibliotheksexemplar mit Stempel innen und Bibliothekssignatur auf Einband in gutem Zustand. Moderate Lager- und Gebrauchsspuren, vereinzelte Anstreichungen und Marginalien möglich. --- Dieser Titel stammt aus dem Bestand einer Hochschule für künstlerische und industrielle Gestaltung. Die Sammlung umfasst zahlreiche Themenbereiche: Kunst aller Stile und Stilepochen (z.B. Gotik, Renaissance, Romantik, Impressionismus, Expressionismus und Postmoderne), Kunstgeschichte, Architektur, Design, Bildhauerei und Handwerkskunst, Philosophie, Theaterwissenschaften und Geschichte. Ein Stöbern in diesem tausende Titel umfassenden Bestand lohnt sich! Bei weiteren Fragen sprechen Sie uns gerne an. LKX K 31318-B Ohne Schutzumschlag! 2070115232 Sprache: Französisch Gewicht in Gramm: 2030.

Zwolle, Waanders / Amst., Van Gogh Museum, 1997. 29 x 25 cm. Paperback with french flaps. Softcover. With illustrations in color and b/w. Text in Dutch and English. 64 pag. NEW COPY [Art / international artist ].

Etat : Very good.

In-4 (h. 30 cm.) 327 pp. couverture souple. Catalogue de l'exposition de référence (Paris, Blois et Amsterdam).Très bon état. Langue : Français.

Trois fascicules, le deuxième en photocopies. Neuf lettres d'information jointes (sur les dix parues). [7902].

*: Paris, Gallimard, Réunion des Musées Nationaux, 1997, in-4°, 327 pp with 281 ills., index, bibliography, publisher's stiff wrapper. Published on the occasion of an exhibition in Paris, Blois and Amsterdam. Contains the catalogue raisonné.

Pas de couverture. - Paris 1878, 13x21cm, 3 pages sur un bifeuillet. - Lettre autographe datée et signée d'Auguste Préault, 54 lignes à l'encre noire sur un double feuillet, adressée au journaliste Philippe Gille. Déchirures marginales sans gravité en marges du double feuillet. Le sculpteur s'enquiert de la santé de son ami Philippe Gille ainsi que dde sa famille et s'excuse de n'avoir pas pu répondre à leur récente invitation : "J'espère que vous me prendez pas pour un fâcheux." Il évoque ensuite son travail et ce dont il est le plus fier : "J'ai au cimetière le tombeau de Mikiewicz il n'y a qu'un simple médaillon mais c'est je crois ce que j'ai fait de mieux" Le poète national de la Pologne mourut probablement du choléra à Constantinople en nombre 1855. Notamment à propos de difficultés sanitaires, son cercueil resta plusieurs semaines dans la maison où il était mort puis fut transféré à Marseille, sur le narire l'Euphrate, après une cérémonie funèbre à l'église Saint-Antoine de Constantinople, pour arriver à Paris le 8 janvier 1855. Un service funèbre fut rendu en l'église de la Madeleine le 21 janvier et l'on procéda ensuite à l'inhumation au cimetière Montmorency. Son tombeau fut orné d'un médaillon par Auguste Préault. Enfin, en 1890, son corps fut transféré à Cracovie, et placé dans une crypte de la cathédrale de Wawel. Il revient aussi sur un quiproquo : "Plusieurs m'ont dit s'étre présenté à vous de ma part. N'en croyez rien quant on se présentera de ma part on sera muni d'une lettre de ma main et j'en donnerai peu." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

Pas de couverture. - Paris Novembre 1874, 13x20,5cm, une feuille. - Lettre autographe datée et signée d'Auguste Préault, 19 lignes à l'encre noire sur un feuillet, adressée au journaliste Philippe Gille à propos de la fonte de la main du poète-assassin romantique Pierre François Lacenaire. Lettre insolite du sculpteur romantique Auguste Préault, qui prodigue ses conseils à son ami Philippe Gille : "Si vous faites fondre la main de Lassennaire [sic] chez le fondeur Thiébaut recommandez-lui de faire [.] comme une cire perdue." A partir d'un moulage d'après nature, le journaliste Philippe Gille souhaitait réaliser une fonte de la terrible relique du meurtrier. Familier des libertés prises par les fondeurs, le sculpteur adresse ses recommandations teintées d'humour : "ne pas ciseler et enlever seulement les coutures de la fonte. Dans cette main, on fond admirablement quand on veut. Mais il faut lui demander énergiquement sinon on vous donne un robinet ou une poignée de sabre [.]" On avait gardé de Lacenaire, guillotiné en 1836, sa main "conservée par un procédé chimique. C'est la chose la plus sinistre qui se puisse voir ! Cette main momifiée, aux doigts maigres et canailles, aplatis et élargis aux extrémités comme des têtes de jeunes serpents, explique la cruauté rampante de cet homme. Les poils qui la recouvrent ont des reflets sanglants lorsqu'on les regarde au prisme de la lumière. On dirait un débris de sépulcre égyptien. Elle sent encore l'odeur acre et pénétrante du baume mystérieux qui l'a maintenue jusqu'ici dans sa hideuse réalité. C'est bien là la main qui assassine les vieilles femmes dans leur lit." écrira Victor Cochinat dans sa biographie de l'assassin (1857). Les Romantiques seront profondément inspirés par la destinée de Lacenaire et sa main naturalisée : Gautier, l'auteur du Roman de la Momie, lui avait même consacré des vers dans "Étude de mains", du recueil Émaux et Camées (1852) dont voici un extrait : "On y voit les oeuvres mauvaises / Ecrites en fauves sillons / Et les brûlures des fournaises / Où bouillent les corruptions;" Oscar Wilde y fera également référence dans son célèbre Portrait de Dorian Gray : une main jaune "du supplice encore mal lavée", aux "doigts de faune". [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].