Edité par , Fédération Jean-Vigo, 1991
Vendeur : PRISCA, Paris, France
EUR 15,68
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Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Comme neuf. In-8 broché. Jeune Cinéma est une revue de cinéma mensuelle à sa naissance, puis bimestrielle à partir de 2005, créée par Jean Delmas en septembre 1964 pour prolonger la découverte de nouvelles cinématographies au sein de la Fédération Jean-Vigo des ciné-clubs de jeunes qui, en 1960, regroupait 300 ciné-clubs de lycées. SOMMAIRE : --- 3 Éditorial (autre) Auteur : LOGETTE Lucien --- 4 Europa Europa (critique, article sur un film) Auteur : PIAZZO Philippe --- 6 HOLLAND Agnieszka (entretien) Auteur : PIAZZO Philippe --- 11 HOLLAND Agnieszka (filmographie) --- 12 Do the Right Thing (critique, article sur un film) Auteurs : MUSSER Charles , KENNEDY Lisa --- 16 Mo'Better Blues (critique, article sur un film) Auteur : BORGESE Maurizio --- 19 VINCENT Christian à propos de : Discrète (La) (entretien) --- 24 MAYO Antoine (nécrologie) Auteurs : VIRMAUX Alain , VIRMAUX Odette --- 28 GRÉVILLE Edmond T. Prélude à Gréville (2) (article d'ensemble) Auteur : LOGETTE Lucien --- 30 Âge d'or (L') (autre) Auteur : LOGETTE Lucien --- 31 GRÉVILLE Edmond T. (filmographie) --- 33 GRÉVILLE Edmond T. Chantegrenouille (texte de la personnalité) --- 34 Orléans 1990 (festival) Auteur : DUVAL Thomas --- 36 Venise 1990 (festival) Auteur : BORGESE Maurizio --- 36 Voyages de Winckekmann (Les) (festival) --- 36 Nuits de couvre-feu (Les) (festival) --- 36 Murs (Les) (festival) --- 37 Dr. M (critique, article sur un film) Auteur : TOURNÈS Andrée --- 38 In girum imus nocte et consumimur igni (brève) Auteur : LOGETTE Lucien --- 39 Château de ma mère (Le) (brève) Auteur : NAVE Bernard --- 39 Jean Galmot, aventurier (critique, article sur un film) Auteur : TOURNÈS Andrée --- 39 Gloire de mon père (La) (brève) --- 40 Thé au Sahara (Un) (critique, article sur un film) Auteur : NAVE Bernard --- 41 Armes de l'esprit (Les) (critique, article sur un film) Auteur : KIEFFER Anne --- 43 Tilaï (critique, article sur un film) Auteur : KIEFFER Anne --- 44 Mima (critique, article sur un film) Auteur : AIDAN Marceau --- 45 Gaspard et Robinson (critique, article sur un film) Auteur : PIAZZO Philippe --- 47 FERRACCI René (entretien) Auteurs : VIRMAUX Alain , VIRMAUX Odette --- 49 Transit (critique, article sur un film) Auteur : TOURNÈS Andrée.
EUR 45
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Ajouter au panierCouverture rigide. Etat : Bon. L'AIGLON NAPOLEON DEUX Par André CASTELOT EDITIONS LIBRAIRIE ACADEMIQUE PERRIN, 1975 Collection « Présence de l'Histoire » FORMAT IN-8, RELIE, 498 PAGES. APPENDICES DOCUMENTAIRES. BIBLIOGRAPHIE ILLUSTRE DE 30 REPRODUCTIONS DE GRAVURES H-T. Né en 1811 du second mariage de NAPOLEON 1er avec MARIE-LOUISE, Archiduchesse d'Autriche, FRANCOIS, CHARLES, JOSEPH, NAPOLEON, BONAPARTE, semblait voué à la gloire. Sous le nom de « ROI DE ROME », il était le légitime héritier d'un immense Empire. Les défaites de son père devaient bouleverser le destin de ce dauphin et le vouer à une sorte de fatalité du malheur à la mesure de la descente aux enfers vécue par son père. Vivant dans un exil doré en Autriche, étroitement surveillé, il fut contraint d'adopter la vie autrichienne sous le titre, spécialement créé pour lui, de DUC DE REICHSTADT. De santé fragile, ce beau jeune homme mourra de tuberculose à 22 ans. L'une de ses dernières paroles résume sa vie: « Ma naissance et ma mort, voilà toute mon histoire ». S'APPUYANT SUR DES DOCUMENTS RESTES JUSQU'ALORS INEDITS, ANDRE CASTELOT RETRACE AVEC VERVE ET DE FACON PRECISE LE SI TRISTE ET SI ROMANTIQUE DESTIN DE CELUI QUI, -NE ROI DE ROME ET HERIRIER DU GRAND EMPIRE, FUT BRIEVEMENT PROCLAME « NAPOLEON DEUX » EN 1815, PUIS VOUE A UN SORT FUNESTE A LA COUR D'AUTRICHE COMME DUC DE REICHSTADT-, EST ENTRE DANS LA LEGENDE NAPOLEONIENNE SOUS LE NOM DE « L'AIGLON ». Le fils de l'Empereur Pleine reliure d'éditeur vert empire. Titres dorés. BON ETAT POSSIBILITE DE REGLEMENT EN PLUSIEURS FOIS SANS FRAIS : ME CONSULTER SI L'ETAT NE CONVIENT PAS, JE REPRENDS LES LIVRES.
Edité par Club Des Amis Du Livre, 1961
Vendeur : Ammareal, Morangis, France
EUR 54,99
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Ajouter au panierHardcover. Etat : Bon. Livre un peu vrillé. Légères traces d'usure sur la couverture. Salissures sur la tranche. Edition 1961. Ammareal reverse jusqu'à 15% du prix net de cet article à des organisations caritatives. ENGLISH DESCRIPTION Book Condition: Used, Good. Book slightly twisted. Slight signs of wear on the cover. Stains on the edge. Edition 1961. Ammareal gives back up to 15% of this item's net price to charity organizations.
EUR 61,80
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Ajouter au panierEtat : Used: Like New. LIVRE A L?ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9791041104055.
Date d'édition : 1955
Vendeur : photovintagefrance, ARNAVILLE, France
Photographie
EUR 99
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Ajouter au panierPhotographie,Vintage silver print, André Dupont, dit « Aguigui Mouna », ou simplement « Mouna », né le 1er octobre 1911 à Meythet (Haute-Savoie), et mort le 8 mai 1999 à Paris, est un clochard-philosophe libertaire, pacifiste, écologiste avant l'heure, qui, souvent à vélo, sillonnait les rues de Paris pour haranguer les foules, dormant chez ses hôtes voire à la belle étoile. Il connut son heure de gloire en mai 68. On a vu en lui à la fois « le dernier amuseur public de Paris » et « le sage des temps modernes ». De son nom d'état-civil André Dupont, « Aguigui Mouna » naît dans une famille de cultivateurs modestes. « J'ai perdu mon père quand j'avais sept ans. Un matin, j'avais neuf ans, ma tante m'a réveillé en m'annonçant : ta mère est morte. Ça fait un drôle d'effet. » Il est recueilli avec son frère par cette tante, chez qui ils seront garçons de ferme, couchant à l?étable avec les vaches. Sa mère, Adélaïde Brisgand, était originaire des Villards-sur-Thônes. Il commence à travailler à l?âge de 13 ans. Il est tour à tour garçon de café et chômeur et, à 17 ans, s?engage dans la Marine mais s?en fait exclure pour avoir refusé les avances d'un supérieur. Il se marie en 1939, juste avant d?être mobilisé pour la drôle de guerre. Il en sortira « antimilitariste convaincu ». Il adhère au Parti communiste français à la Libération et est un temps un militant « pur et dur ». Mais, n?étant fait ni pour l?obéissance passive aux consignes, ni pour la pensée unique, il déchante rapidement. Installé à Nice où il tient une pension de famille, il est exclu du PCF à la suite d'un épisode lié à sa vie privée, ce qui contribue à sa désillusion politique. En 1951, il fait la connaissance d'un client de son établissement, un peintre argentin marginal. La rencontre avec ce personnage original est pour lui une illumination, qui le convainc de dénoncer l'absurdité du monde. Las de sa vie de « caca-pipi-taliste », il commence, tout en continuant à tenir sa pension, une carrière d'« d'imprécateur-amuseur ». En mai 1952, il prend part à une manifestation communiste contre les Américains en arborant pour la première fois une tenue bariolée. Au cours des semaines suivantes, il multiplie les apparitions publiques dans Antibes, où il acquiert une réputation d'excentrique, voire de fou. Séparé de sa femme, il monte ensuite à Paris, où il s?installe comme cafetier-restaurateur avec son frère aîné, face à la Bibliothèque nationale de France, au coin de la rue de Richelieu et du square Louvois, lieu de rencontres pittoresques au fil des années 1950. Son pseudonyme d'« Aguigui Mouna » vient d'une exclamation, dépourvue de sens, qu'il pousse un jour alors qu'il réfléchissait sur l'absurdité de la vie : « J'ai crié Aguigui Mouna? et voilà. J'ai commencé à me déguiser, à mettre un hareng-saur dans une cage à la vitrine de mon restaurant? la mutation quoi. » Il déclare volontiers, au sujet de la société contemporaine : « On devient gaga, complètement gaga, fini, usé, terminé? gaga, agaga, agogo, gogo, agag, aguigui? aguigui ! » Par la suite, ayant fait faillite, quitté par sa nouvelle compagne qui ne supportait plus ses excentricités, il se consacre à temps plein à son activité d'imprécateur public et prend la route pour professer sa philosophie, à Paris comme sur la Côte d'Azur. Plus tard on le verra aussi, « coiffé d'un chapeau à clochettes et revêtu d'un manteau recouvert de badges et de calicots », haranguant les foules aux festivals de Cannes et d?Avignon, au Printemps de Bourges et au Salon du livre de Paris. En 1956, il marche à pied de Cagnes-sur-Mer à San Remo. On le voit aussi à Golfe-Juan, où il reste perché 16 heures en haut d?un platane. Il ponctue ses déclamations par des inscriptions à la craie blanche sur le bitume en disant « Je craie ». Ses techniques de communication, telles que l?usage de pancartes accrochées à son vélo pour interpeller les passants, ont probablement influencé l?écriture blanche sur noir de l?artiste Ben. À Sainte-Maxime, il porte un réveil autour du cou et pique sa barbe folle de fleurs des champs. Il crée son journal Le Mouna Frères (le Mou?Nana pour les s?urs !!! - le journal anti-robot), feuille de chou qui tient à la fois de L'Os à moelle de Pierre Dac et du tract politique, qu?il diffuse lui-même dans les manifestations. Il se déplace sur un vélo équipé d'un téléphone rouge factice et jette des graines aux badauds qui l'écoutent en ponctuant son geste d'un « Prenez-en de la graine ! » En 1968, aux gauchistes qui lui lancent « Mouna, folklore ! », il rétorque « Tu préfères le chlore ? », allusion aux gaz lacrymogènes des CRS lors des manifestations estudiantines. Les mêmes le qualifient d?« amuseur débilissime, allié objectif du capitalisme ». Les prenant au mot dans l?amphithéâtre à ciel ouvert (maintenant remplacé par un bâtiment administratif) du campus de Jussieu (universités Paris 6 - Paris 7), il se fait sacrer le 2 mars 1978 « Empereur débilissime, Aguigui 1er », à l?aide de ses amis saltimbanques qui distribuent des nez rouges. Un autre jour, il se fait arrêter pour avoir mené une procession grotesque dont les participants scandaient en ch?ur : « Nous sommes heureux ! Nous sommes heureux ! » La même année, à la mort de Jean-Paul Ier, il affiche à la porte des églises le slogan : « Si Jésus est mort sur la Croix, un pape meurt dans son lit ! » Dénonçant le « déformatage des esprits » et le « prêt-à-penser », il se présente comme candidat (ou « non-candidat » ainsi qu?il se désigne lui-même) à l?élection présidentielle de 1974, ainsi qu?aux trois suivantes, sous son véritable patronyme : Dupont (« pas de Nemours ni d?Isigny », précise-t-il). Aux élections législatives de 1988 et 1993, à l?âge de 76 puis de 81 ans, il se présente dans la 2e circonscription de Paris contre Jean Tiberi, obtenant 3 % des voix en 19881 et 1,8 % en 1993 (722 voix). Dans les candidatures de Mouna Aguigui à des fonctions électives, Pierre Laszlo voit « l?irruption, dans les campagnes électorales parisie.
Date d'édition : 1865
Manuscrit / Papier ancien Edition originale Signé
EUR 10 350
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Ajouter au panierPas de couverture. - 30 mai 1865, 13,7x21,1cm, une page sur un feuillet. - Lettre autographe signée de Charles Baudelaire adressée à Narcisse Ancelle, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier bleu. Pliures inhérentes à l'envoi, trois infimes petits trous sans atteinte au texte. Cette lettre a été retranscrite dans les Oeuvres complètes volume 11 publiées en 1949 par L. Conard. Emouvante missive bruxelloise adressée au célèbre notaire familial devenu en 1844 le conseil judicaire de Charles chargé de gérer sa rente et ses dettes exponentielles. Une relation complexe s'établit entre le poète et son tuteur, mêlant nécessité et défiance, mais témoignant néanmoins d'un véritable respect mutuel entre les deux hommes. Cette correspondance, dépourvue de l'affectivité des lettres à sa mère ou des circonvolutions dans ses échanges avec les créanciers, constitue une des plus précieuses sources biographiques du poète. En effet, la dépendance financière de Baudelaire le contraint à une très grande transparence avec son tuteur et chacune de ses lettres à Ancelle résume admirablement ses pérégrinations. Ainsi, cette lettre évoque-t-elle le terrible enlisement du poète en Belgique et son retour sans cesse reporté à Paris: . Lorsqu'il écrit, Baudelaire est encore à Bruxelles à l'Hôtel du Grand Miroir, « 28 rue de la Montagne » (mais il ne faut pas écrire le nom de l'hôtel, sinon les lettres ne lui parviennent pas directement), où il se meurt d'ennui, de maladie et de rancur contre un pays dans lequel, innocemment, il croyait trouver la gloire. Cette annonce de départ imminent pour Paris, "Deux ou trois jours après votre réponse je partirai", fait écho à toutes les promesses similaires que le poète adresse depuis près d'un an à ces correspondants. Celle-ci sera avortée, comme toutes les autres car, comme il l'avoue à Ancelle un quelques mois plus tôt, Paris lui « fait une peur de chien ». Ce n'est qu'en août 1865 qu'il accomplira un ultime et court séjour en France avant son apoplexie fatale. Son retour, "Je suis très attendu à Paris et à Honfleur" était pourtant motivé par une raison impérieuse : négocier avec un éditeur, grâce à l'intervention de Manet, la publication de son recueil de réflexions sur ses contemporains qu'il a déjà intitulé « mon cur mis à nu » et dont le manuscrit est en partie chez sa mère à Honfleur. Nouvel échec, l'uvre ne paraîtra qu'en 1897, 30 ans après la mort de Baudelaire. Mais c'est sans doute la référence aux « deux grands tableaux [qu'il veut] expédier à Honfleur », qui donne tout son sel à cette lettre. Baudelaire évoque en effet sa volonté de rapatrier des peintures de sa collection déposés chez divers prêteurs ou restaurateurs, et dont il avait déjà envoyé une liste à Ancelle quelques mois plus tôt. Parmi ceux-ci, quels sont ceux qu'il voulait ramener à sa mère ? Le portrait de son père, le Boilly, le Manet, un Constantin Guys ? Il n'est fait aucune mention dans les autres lettres de ce transport artistique et du « reste » auquel seront joints les tableaux. Cette volonté d'"expédier à Honfleur" ses biens précieux, témoigne pourtant du désir du poète affaibli de s'installer définitivement dans la « maison-bijou » de sa mère à Honfleur, ilot de sérénité dans lequel Baudelaire rêve d'une paisible retraite où tout ne serait à nouveau « qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté ». Il y retournera en effet, paralysé et muet, mais pour une dernière année d'agonie après sa crise syphilitique. L'hôtel du Grand Miroir, quant à lui, restera sa dernière véritable demeure comme cela sera noté le mardi 3 avril 1866, sur le registre des entrants à la Clinique Saint-Jean : « Nom et prénoms : Baudelaire Charles. « Domicile : France et rue de la Montagne, 28. « Profession : homme de lettres. « Maladie : apoplexie. » Belle lettre à celui qui fut à la fois le persécuteur et le protecteur de Baudelaire. Il accompagna le poète jusqu'à sa mort, avant de devenir l'éxécuteur testamentaire de la famille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].