Edité par Nouvelles éditions Baudinière, 1978
ISBN 10 : 2859860142 ISBN 13 : 9782859860141
Langue: anglais
Vendeur : Bouquinerie Le Fouineur, St-Pierre de Clages, VS, Suisse
EUR 21,92
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Très bon. Poids: 290gr. Couverture un peu râpée et page un peu pliée. Alexandre Dumas tient " la fuite à Varennes " du roi et de sa famille pour " le fait le plus considérable de la Révolution française, et même de l'histoire de France ". Les historiens n'en donnent pas tous la même version. Il décide de reconstituer minutieusement le plan élaboré pour gagner l'étranger et de suivre pas à pas la route empruntée par Louis XVI le 21 juin 1791. Grand reporter avant l'heure, il interroge les témoins oculaires et raconte étape par étape les péripéties de l'échappée royale. Passionnant comme une enquête, ce récit méconnu parut en feuilleton en 1858.
Edité par Beauvais, Imprimerie Desjardins, 1791
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
EUR 35
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-4° broché, 2 pages.
Edité par Versailles, Imprimerie du Département de Seine-et-Oise, 1791
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale Signé
EUR 37
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-quarto broché 2 pages.- Barthélémy CORDERANT, secrétaire du district de Versailles pendant les premières années de la Révolution a signé de sa griffe ou de sa main, la dernière page du document. Signé par l'auteur.
Vendeur : Librairie La MASSENIE à MONTOLIEU, MONTOLIEU - VILLAGE DU LIVRE, France
EUR 58
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierLibrairie Académique Perrin - Présence de l'histoire, 1987-1989-1992, 3 volumes in-8° (20,5 x 14 cm), 495, 562 et 536 pages, nombreuses planches hors-textes d'illustrations en noir, index, reliure pleine toile éditeur, sous jaquettes illustrées, très bon état, Louis XVI, né le 23 août 1754 à Versailles sous le nom de Louis-Auguste de France, est roi de France et de Navarre du 10 mai 1774 au 13 septembre 1791, puis roi des Français jusqu'au 21 septembre 1792. Alors appelé civilement Louis Capet, il meurt guillotiné le 21 janvier 1793 à Paris. Fils du dauphin Louis de France et de Marie-Josèphe de Saxe, il devient dauphin à la mort de son père. Marié en 1770 à Marie-Antoinette d'Autriche, il monte sur le trône en 1774, à dix-neuf ans, à la mort de son grand-père Louis XV. Héritant un royaume au bord de la banqueroute, il lance plusieurs réformes financières, notamment portées par les ministres Turgot, Calonne et Necker, comme le projet d'un impôt direct égalitaire, mais qui échouent toutes face au blocage des parlements, du clergé, de la noblesse et de la cour. Il fait évoluer le droit des personnes (abolition de la torture, du servage, etc.) et remporte une grande victoire militaire face à l'Angleterre, à travers son soutien actif aux indépendantistes américains. Mais l'intervention française en Amérique achève de ruiner le royaume. Louis XVI est principalement connu pour son rôle dans la Révolution française. Celle-ci commence en 1789 après la convocation des états généraux pour refinancer l'État. Les députés du Tiers, qui revendiquent le soutien du peuple, se proclament « Assemblée nationale » et mettent de facto un terme à la monarchie absolue de droit divin. Dans un premier temps, Louis XVI doit quitter le château de Versailles il reste le dernier monarque à y avoir habité pour Paris, et semble accepter de devenir un monarque constitutionnel. Mais avant la promulgation de la Constitution de 1791 qui fait de lui le dernier roi de France de la période dite de l'Ancien Régime, la famille royale quitte la capitale et se voit arrêtée à Varennes. L'échec de cette fuite a un retentissement important dans l'opinion publique, jusque-là peu hostile au souverain, et marque une fracture entre conventionnels.Jean-François Chiappe, né le 30 novembre 1931 à Laon dans l'Aisne et mort le 21 octobre 2001 à Versailles, est un écrivain spécialisé en histoire, producteur de radio et de télévision français. Sur le plan politique, Jean-François Chiappe appartenait aux courants monarchistes et catholiques.
Edité par Imprimerie nationale messidor an IV, Paris
Vendeur : Libreria antiquaria Atlantis (ALAI-ILAB), Torino, Italie
EUR 35
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierIn 8°, non relié. Pp. 18 (2 b.) Petites déchirures au dernier feuillet, traces de cire et de vieux tampons, dont celui du Conseil des Cinq-cens. François Tronchet, avocat et membre de l'Assemblée nationale, avait été choisi, avec Adrien Duport et Antoine d'André, pour interroger le roi emprisonné, après la fuite à Varennes (20-21 Juin 1791). Dix-huit mois plus tard, Tronchet deviendra défenseur du roi Louis XVI à son procès.
Edité par (à la fin:) (Paris), de l'Imprimerie Nationale, s.d. (1791)., 1791
Vendeur : Último Capítulo S.L., Barcelona, Espagne
EUR 40
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierin-8. 15pp. Broché, traces de reliure au dos. Bon exemplaire. Petite tache au 1er feuillet Brochure sur la fuite à Varennes du roi et de sa famille. L'auteur était député de la Meurthe. Révolution.
Edité par [Paris] : De l'Imprimerie Nationale, 1793
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
EUR 60
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-octavo broché en condition de parution, à toutes marges, 4 pages dont 3 imprimées. DISCOURS ENFLAMME SUR LA MORT DE MARAT - - Drouet doit son entrée en politique au seul fait d'avoir reconnu le Roi en fuite vers Varennes. Il sera plus que largement récompensé pour cela. - - - Jean-Baptiste Drouet, né à Sainte-Menehould le 8 janvier 1763 et mort à Mâcon le 10 avril 1824, est un révolutionnaire français. Il était maître de poste à Sainte-Menehould lorsque le 21 juin 1791 une berline, luxueuse pour l'époque, et une petite voiture font halte dans le relais dont il a la charge. La berline a six passagers, la voiture trois domestiques en livrée jaune les accompagnant. Ils sont très pressés. Une heure après ce passage, un homme arrive, épuisé. Au nom d'un garde national qui l'a informé que Louis XVI de France a quitté Paris dans la nuit, comme de nombreux « patriotes », il chevauche au travers les différents relais du secteur afin de retrouver des traces du roi. Jean-Baptiste Drouet fait le rapprochement avec la berline. Le nombre de passagers correspond. Il se souvient que l'équipée se dirigeait vers Varennes-en-Argonne. Aussitôt, il avertit les autorités locales. Il est choisi pour partir à cheval, avec son ami Jean-Chrysostome Guillaume. Il avertit le maire et le commandant de la Garde Nationale de Varennes. Il organise le contrôle de la berline du roi et de sa famille et fait son possible toute la nuit pour empêcher le roi de quitter Varennes jusqu'à l'arrivée de l'aide de camp de La Fayette, qui procède à l'arrestation du Roi, conformément au décret de l'Assemblée dont il était muni. Élu député en septembre 1792 à la Convention il siégea sur les bancs des montagnards. Il fut nommé membre de la commission des Vingt-quatre chargée d'inventorier les documents de l'armoire de fer. Dans le procès du roi, absent pour raison de santé lors du scrutin sur l'appel au peuple, il vota ensuite pour la mort et contre le sursis. Le 13 avril 1793, dans l'affaire de Marat, il se prononça contre sa mise en accusation. Fougueux, il était partisan d'une république dure, il disait : « Soyons brigands, s'il faut l'être, pour le salut du peuple ». Il fut envoyé en qualité de commissaire à l'armée du Nord (1793), s'enferma dans Maubeuge, assiégé par l'armée du prince de Cobourg et tomba aux mains des Autrichiens. Il ne revint en France qu'en décembre 1795, échangé avec d'autres révolutionnaires contre Madame Royale (la fille de Louis XVI). On le retrouve au Conseil des Cinq-Cents, mais il trouva que la République avait bien changé pendant sa captivité. Il fut accusé d'avoir participé à la conspiration ourdie par Babeuf, et fut arrêté le 10 mai 1796, jugé puis acquitté par le jury le 26 mai 1797. S'étant évadé dans des circonstances mystérieuses, il était aux îles Canaries quand il apprit son acquittement d'où il s'empressa de rentrer en France. Lorsqu'il fut arrêté, le public, à Paris comme en Province, a pu penser qu'il avait été emprisonné parce qu'il avait jadis arrêté le roi. Il est certain qu'un tel prisonnier embarrassait le Directoire et il est fort possible que Barras ait favorisé son évasion. Son procès, où il fut jugé par contumace, fut une formalité. Il fut décoré de la Légion d'honneur le 7 août 1807 par Napoléon Ier et la petite histoire rapporte que l'Empereur, lui remettant cette distinction sur le site de Valmy, lui aurait dit « Monsieur Drouet, vous avez changé la face du monde ». Il fut sous-préfet de Sainte-Menehould de 1800 à 1814. À ce titre, en 1814, durant la campagne de France, il prit la tête d'un groupe de francs-tireurs qui harcelait les arrières des Alliés. Frappé par la loi condamnant les régicides, il fut exilé sous la Restauration, mais ne pouvant se résoudre à quitter son pays, il vécut à Mâcon sous le faux nom de Jean Baptiste Troué.
Edité par Paris, Charpentier, 1840
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
EUR 65
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture rigide. Etat : Bon. 2ème Édition. In-8° relié demi-basane de l'époque, LIV , 292 pages. Une charnière fragile, deux coiffes légèrement émoussés. L'édition originale date de 1837. ''Valérie parut pour la première fois en 1804 grâce à l'aide de Chateaubriand; il s'agit de l'oeuvre la plus célèbre de Madame Krüdener (1764-1824) appartenant à la famille des livres intimes de l'époque comme Adolphe, Édouard, Obermann ou Werther.'' ''Ce roman sentimental et frénétique est unanimement reconnu comme un des chefs-d'oeuvres du pré-romantisme. C'est la seule oeuvre romanesque de Mme de Krüdener''. (Alain Marchiset). ''L'exaltation des sentiments est portée à son comble dans cette oeuvre''. Vicaire IV, Manuel de l'amateur de livres du XIXème, 724 - Escoffier, Le Mouvement romantique, 1238 - Clouzot, Guide du bibliophile français, p. 100. Louis Joseph Amour de Bouillé du Chariol, marquis de Bouillé, né à Basse-Terre (Guadeloupe) le 1er mai 1769, mort le 20 novembre 1850 à Paris, est un général français de la Révolution et de l'Empire. Son père, François Claude de Bouillé et son frère, participent à la fuite avortée de Louis XVI. Marié le 3 avril 1798, à Robertine Walsh de Serrant, son fils unique, René de Bouillé (1802-1882), sera ministre plénipotentiaire dans le Grand Duché de Bade, ambassadeur à Madrid, grand officier de la Légion d'honneur et pair de France. Frédéric le Grand l'admet à l'Académie des gentilshommes de Berlin. À 18 ans, il est nommé capitaine au Royal-Pologne, cavalerie, puis dans Mestre-de-camp-général, dragons, et enfin major en second aux hussards de Berdung, le 5 juin 1790. En 1791, il devient lieutenant-colonel aide-de-camp de son frère, le chevalier de Bouillé. Il a l'occasion de montrer sa bravoure dans quelques émeutes en 1790 et 1791, à Metz et à Nancy, et sauve la vie à plusieurs personnes. Le jour de l'arrestation du roi Louis XVI en juin 1791 à Varennes, Louis de Bouillé se trouve près de son père, et il est poursuivi comme lui, en vertu d'un décret de l'Assemblée nationale, mais il émigre avec son père et devient aide-de-camp du roi Gustave III de Suède et adjudant-général. À la suite de l'assassinat de ce prince, il se rend à l'armée de Condé, passe au service de la Prusse et est blessé au siège de Mayence. En 1793, il lève à ses frais un régiment de uhlans et combat à l'avant-garde de l'armée anglaise jusqu'à la réforme de son corps, en 1796. Cette même année, lorsque le comte d'Artois veut tenter une descente, il confie à Louis de Bouillé le commandement en chef de la cavalerie. Après l'échec de cette expédition, il reste dans l'inaction jusqu'en 1802. Il obtient à cette époque sa radiation de la liste des émigrés et prend du service dans sa patrie en 1806. Il rentre en France en 1806, et s'engage dans l'armée de Napoléon Ier. Il ne tarde pas à se distinguer et montre tant de bravoure au siège de Gaète en 1807, qu'il reçoit la Légion d'honneur. Attaché au 9e corps de la grande armée, il assiste aux combats livrés par ce corps et à la tête d'une avant-garde de chevau-légers de Linanges-Bavarois, bat le prince d'Anhalt, lui prend son artillerie et paralyse tous ses mouvements. En 1808, il suit en Espagne le général Sébastiani, en qualité de chef d'état-major, contribue au succès du combat de Ciudad Real, prend les fonctions de chef d'état-major général du 4e corps, se distingue dans divers rencontres, notamment à la bataille d'Almonacid, où il ajoute à la réputation de valeur et de capacité qu'il s'est faite. Il défait, avec 1 200 hommes, 5 000 Espagnols à Baza en 1810, et il est promu général de brigade le 22 juin 1810 et créé comte de l'Empire le 2 septembre 1810. Il obtient le commandement d'un corps de dragons avec lequel il bat, le 19 avril et le 17 mai 1812, le général Freyre. Forcé, par le mauvais état de ses yeux, de quitter l'Espagne, il est fait lieutenant-général à la rentrée des Bourbons le 31 décembre 1814 et mis à la retraite.
Edité par [Paris], Imprimerie Nationale, s.d. (1791);, 1791
Vendeur : Librairie Historique F. Teissèdre, SAUVE, France
Membre d'association : ILAB
Signé
EUR 20
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierin-8, 3 pp., en feuille. Signé de Tronchet, Adrien Duport et Dandré, ce bref récit relate l'entrevue de Louis XVI et de Marie-Antoinette avec les commissaires députés par la Constiuante et chargés en fait de communiquer aux souverains la teneur du décret de l'Assemblée consécutif à la fuite de Varennes.Tourneux I, 2259. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT.
Edité par Paris, Imprimerie Nationale, s.d. (1791), 1791
Vendeur : Librairie Historique F. Teissèdre, SAUVE, France
Membre d'association : ILAB
EUR 60
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierin-8, 19 pp., broché. Texte essentiel.Barnave fut avec Mirabeau, un des orateurs les plus brillants de la Constituante. Lors de la fuite à Varennes, il fut un des trois commissaires chargés de ramener la famille royale à Paris. Alors que la France disposait d'une Constitution, Barnave pensait que la Révolution était désormais achevée. Il défendit la monarchie constitutionnelle et l'inviolabilité du roi. Il est "impossible de faire rétrogader" la Révolution, il s'agit simplement "de la fixer" : "ceux qui l'ont faite et qui l'ont voulue, doivent apercevoir qu'elle est à son dernier terme, que le bonheur de leur patrie . exige qu'elle ne se contitue pas plus longtemps."Martin & Walter, I, 1749. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT.
Edité par Versailles, Imprimerie du Département de Seine-et-Oise, 1791
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale Signé
EUR 95
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-quarto broché sous couverture de papier ancien, 2 pages. Exemplaire en état parfait - PERFECT COPY LIKE NEW - Barthélémy CORDERANT, secrétaire du district de Versailles pendant les premières années de la Révolution a signé de sa griffe ou de sa main, la dernière page du document. François-Claude-Amour de Bouillé est nommé en 1768, gouverneur de la Guadeloupe et en mai 1777, gouverneur de la Martinique et de Sainte-Lucie avant de devenir gouverneur général des colonies françaises des îles du Vent de juillet 1777 à avril 1783. Il combattit aux Antilles pendant la guerre d'indépendance des États-Unis, et enleva plusieurs îles aux Britanniques (1778). En 1781, il prit notamment le commandement de la flotte française du comte de Grasse, lors de la prise de Tobago. Membre de l'Assemblée des notables de 1787 à 1788, il y défend les privilèges. En 1789, il est nommé gouverneur des Trois-Évêchés (Toul, Metz et Verdun), puis de l'Alsace, de la Lorraine et de la Franche-Comté. Nommé en 1790 général en chef de l'armée de Meuse, Sarre-et-Moselle, il fit respecter la discipline à Metz et à Nancy par des actes de vigueur : il réprime sévèrement la mutinerie de la garnison de Nancy, le 31 août 1790 (33 condamnations à mort, 41 aux galères), fait pour lequel l'Assemblée, sur proposition de Mirabeau, vote un décret pour le féliciter. Les patriotes le détestant, la famille royale le charge d'organiser sa fuite le 20 juin 1791. En cas de succès le Roi prévoyait de lui remettre le grade de maréchal de France mais les dispositions qu'il prend contribuent en partie à l'arrestation de Louis XVI à Varennes-en-Argonne. Le marquis François-Claude-Amour de Bouillé émigre et se réfugie à Coblence. Il fait des démarches auprès des différentes cours pour obtenir la délivrance du roi, enjoignant aux puissances étrangères de combattre la France. Il eut, sur ce point, des conférences avec le roi Gustave III de Suède à Aix-la-Chapelle, et lui fit part de ses projets. Il fut dans l'armée de Louis-Joseph de Bourbon, prince de Condé, en 1792, puis voyant ses efforts inutiles, se retira en Grande-Bretagne où il mourut le 14 novembre 1800. Il est d'abord enterré au vieux cimetière de Saint-Pancrace à Londres, puis au cimetière de Montmartre, où sa dépouille est rapatriée en 1866. On lui attribue traditionnellement la première version (1769) des paroles de la chanson Adieu foulard, adieu Madras , composée lorsqu'il était gouverneur de la Guadeloupe. Signé par l'auteur.
Edité par Paris, Imprimerie Nationale, 1791, 1791
Vendeur : Librairie Historique F. Teissèdre, SAUVE, France
Membre d'association : ILAB
EUR 30
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierin-8, 8 pp., en feuilles. Jean-Pierre Boullé (1753-1816), député de la sénéchaussée de Ploërmel aux Etats -Généraux, fut envoyé dans le Nord et dans le Pas-de-Calais pour prévenir les troubles qu'aurait pu causer la nouvelle de la fuite du roi à Varennes. Sa lettre porte essentiellement sur les actes d'insubordination qui s'étaient produits dans le 78e régiment d'Infanterie.Martin & Walter, 4640. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT.
Edité par Versailles, Imprimerie du Département de Seine-et-Oise, 1791
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale Signé
EUR 115
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-quarto broché sous couverture de papier ancien, 4 pages. Exemplaire en état parfait - PERFECT COPY LIKE NEW - Barthélémy CORDERANT, secrétaire du district de Versailles pendant les premières années de la Révolution a signé de sa griffe ou de sa main, la dernière page du document. Signé par l'auteur.
Edité par Versailles, Imprimerie du Département de Seine-et-Oise, 1791
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale Signé
EUR 140
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-quarto broché sous couverture de papier ancien, 4 pages. Exemplaire en état parfait - PERFECT COPY LIKE NEW - Barthélémy CORDERANT, secrétaire du district de Versailles pendant les premières années de la Révolution a signé de sa griffe ou de sa main, la dernière page du document. - - - - -. Signé par l'auteur.
Edité par Paris, Baudouin frères, 1823, 1823
Vendeur : Librairie Historique F. Teissèdre, SAUVE, France
Membre d'association : ILAB
EUR 120
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierin-8, VIII-324 pp., cartonnage papier chataigne à la Bradel, filets dorés au dos (reliure de l'époque). Rousseurs, petites usures au cartonnage. Publié dans la Collection des Mémoires relatifs à la Révolution Française, ce recueil réunit cinq des principaux textes sur Varennes.Le premier texte est celui de Bouillé. Organisateur de la fuite de la famille royale, ce texte est évidemment essentiel. Des pièces relatives à ce Mémoire sont publiées à la suite, dont de nombreuses correspondances ainsi que la relation de M. Deslon, capitaine au régiment de hussards de Lauzun. Il commandait le détachement de Dun lors de la fuite.Vient ensuite l'Exposé de la conduite de M. le Cte de Raigecourt à l'affaire de Varennes. Inédite, cette très courte relation est celle d'un officier au Royal-Allemand qui était à Varennes au côté de Bouillé.La quatrième pièce est le Rapport de M. le comte Charles de Damas. Il était chargé d'assurer la sécurité de Louis XVI de Clermont-en-Argonne à Varennes. Le résultat fut celui que l'on connait et le texte de Damas ne peut-être qu'une justification.Enfin, on trouve le Précis historique du voyage entrepris par S. M. Louis XVI, le 21 juin 1791 ; de l'arrestation de la famille royale à Varennes, et de son retour, par le comte de Valory. Valory (ou Valori) était un des trois gardes du corps ayant accompagné le roi à Varennes. C'est sur le voyage de retour que son témoignage est peut-être le plus original. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT.
Edité par Delagrave, 1903
Vendeur : CARIOU1, Grenoble, France
Edition originale
EUR 180
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Bon. Edition originale. CORRESPONDANCE INEDITE DE LA FAYETTE LETTRES DE PRISON - LETTRES D'EXIL 1793 - 1801 Précédée d'une étude psychologique de LA FAYETTE Par Jules THOMAS EDITIONS DELAGRAVE, S.D. 1903 FORMAT GRAND IN-8, BROCHE, 389 PAGES ETUDE PSYCHOLOGIQUE. NOTICES SUR LES DOCUMENTS INEDITS TEXTE INTEGRAL DES 56 LETTRES INEDITES 1793-1801 « Si son état mental l'attirait vers l'acte d'un usurpateur et d'un faiseur de coup d'État, quelque chose également dans sa nature morale l'y rendait impropre. Le long effort intellectuel de combinaison lui manquait, et aussi la vigueur d'une volonté perverse, mais tendue, qui brise d'avance les obstacles secondaires, l'indifférence au crime conçu comme tel et froidement admis, l'appétit cynique d'un pouvoir qui subordonne tout à ses fins. Son salut vint de lui-même comme sa défaillance. La probité de son éducation et une délicatesse morale incontestable devaient l'arrêter devant certaines compromissions. La tentation avait été aussi forte que possible; mais quand la logique des évènements, aussi impérieuse, mais moins subtile que celle des passions, imposa à son choix immédiat d'une part l'usurpation dans toute sa brutalité, d'autre part le devoir d'obéir au pouvoir civil, il se déroba à l'alternative, et c'est un scrupule de conscience qui le fit fuir vers les lignes ennemies. Comme, après le 14 juillet 1789, il avait été un instant débordé par les circonstances, après le 10 août 1792, luttant contre elles, il fût submergé. De tous les généraux qui, pendant la Révolution, BOUILLE, DUMOURIEZ, HOCHE, PICHEGRU et jusqu'à BONAPARTE furent plus ou moins hantés par ce vertige de coup d'État militaire, LA FAYETTE était peut-être, à cause même de ses qualités et de ses défauts, le moins apte à réussir; mais il fut, en définitive, le moins « maltraité » par les évènements et le moins « coupable » devant l'histoire. Son cas relève plus des curiosités de la psychologie que des sévérités de la conscience ». J. THOMAS Figure incontournable de la Révolution de 1789, après avoir été le fameux « Héros des Deux Mondes » au moment de la guerre d'indépendance américaine, LA FAYETTE commandant la Garde Nationale connut son triomphe au moment de la Fête de la Fédération le 14 juillet 1790. Hésitant cependant entre la Révolution et la Monarchie, à laquelle il tenait par sa naissance et son éducation, en butte à l'hostilité de la Reine, il se laissa surprendre par la fuite de la famille royale à Varennes et se trouva dans la nécessité de faire revenir le Roi comme un prisonnier. Il s'aliéna le parti révolutionnaire en faisant tirer sur les manifestants rassemblés au Champ de mars le 17 juillet 1791. Lieutenant général à la tête des armées chargées de repousser les armées étrangères, il remporta quelques succès sur la Sambre au début de 1792. Le 28 juin 1792 il parut à la barre de l'Assemblée pour protester contre les violences de la journée du 20 juin. Cette démarche étant restée sans effet il songea alors à organiser la fuite du Roi, se heurta de nouveau à la méfiance de la Reine, tenta de soulever son armée en faveur de LOUIS XVI, puis, apprenant la nouvelle d'un décret d'accusation lancé contre lui et son remplacement par DUMOURIEZ, il quitta son camp dans la nuit du 19 au 20 août 1792, avec l'intention de gagner la Hollande. Arrêté par les Autrichiens et considéré comme par eux comme ennemi et traître à la monarchie légitime, il fut emprisonné et détenu dans des conditions très dures à Wesel, Magdebourg, Reisse et Olmütz. Il ne retrouva la liberté en septembre 1797 qu'en vertu d'un article spécial du Traité de Campo Formio. Après avoir séjourné à Hambourg et en Hollande, il ne rentra en France qu'après le 18 Brumaire, fut rayé de la liste des Émigrés mais se tint à l'écart de toute activité politique sous le Consulat et l'Empire avant de reparaître en 181.
Edité par Paris : Impr. nat, 1793
Vendeur : PRISCA, Paris, France
Edition originale
EUR 180
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-8° broché couverture moderne d'attente imprimée, 19 pp. Superbe état. Martin & Walter, 27061 - - - Jérôme Pétion de Villeneuve, né à Chartres le 3 janvier 1756, mort dans la commune de Saint-Magne-de-Castillon le 18 juin 1794, est un avocat et un révolutionnaire français, maire de Paris de 1791 à 1792. Fils de Jérôme Pétion, avocat au bailliage de Chartres, subdélégué de l'intendant pour le bailliage et juge présidial à Chartres, et de Marie-Élisabeth Le Tellier, il fait ses études chez les Oratoriens de Vendôme puis à 18 ans chez un procureur à Paris avant de s'inscrire au barreau de Chartres en 1778. Il essaie de se faire un nom en littérature, concourant à divers prix et publiant plusieurs mémoires : Moyens proposés pour prévenir l'infanticide (1781), Les Lois civiles et l'administration de la justice ramenées à un ordre simple et uniforme, ou Réflexions morales, politiques, etc., etc., sur la manière de rendre la justice en France avec le plus de célérité et le moins de frais possible (1782) interdit par la justice , Essai sur le mariage considéré sous des rapports naturels, moraux et politiques, ou Moyens de faciliter et d'encourager les mariages en France. Il est également membre actif de la Société de Amis des Noirs. Élu le 20 mars 1789 premier député du tiers état du bailliage de Chartres aux États généraux1 avec 164 voix sur 190 votants, il siège parmi le petit groupe des patriotes avancés de l'Assemblée constituante avec François Buzot et Maximilien de Robespierre, dont il est l'ami et partage les combats démocratiques : lutte contre le veto royal, les deux chambres proposées par les Monarchiens, le suffrage censitaire (s'il ne défend pas le suffrage universel, il exige l'éligibilité de tous les citoyens actifs1). Il devient l'un des chefs de file des Jacobins. Membre du comité de révision, il est adjoint en septembre 1790 au comité de constitution, avant d'être élu secrétaire puis président de l'Assemblée. Lors de la fuite de la famille royale et son arrestation à Varennes en juin 1791, alors qu'il vient d'être nommé président du tribunal criminel de Paris (fonction qu'il n'exercera pas), il est chargé, avec Barnave et le comte de Latour-Maubourg, de la ramener à Paris1. Il a laissé un témoignage de cet épisode, dans lequel il prétend que « si nous eussions été seuls, elle (Madame Élisabeth) se serait abandonnée dans mes bras aux mouvements de la nature ». Par la suite, il se prononce en faveur de la suspension, voire de la déchéance, de Louis XVI. Le 14 novembre 1791, il est élu maire de Paris face à La Fayette, avec l'appui de la Cour, opposée à La Fayette. Le 20 juin 1792, il tente d'empêcher les manifestants d'envahir le palais des Tuileries et des appartements royaux, mais il est accusé par le roi et le directoire du département d'avoir favorisé l'émeute et facilité, par son absence de réaction, l'invasion des Tuileries. Le 6 juillet, il est suspendu de ses fonctions par le département et remplacé par Philibert Borie, mais cette mesure accroît sa popularité ; les sections s'arment pour réclamer son retour, et il est le héros des célébrations du 14 juillet 1792. L'Assemblée législative décide alors de le rétablir dans ses fonctions. Le 3 août 1792, il est chargé de porter l'adresse des commissaires des 48 sections exigeant la déchéance du roi. En revanche, il ne participe pas à la journée du 10 août 1792. Élu le 5 septembre député d'Eure-et-Loir à la Convention, il démissionne de ses fonctions de maire et devient le premier président de l'assemblée. À cette époque, il se heurte à Robespierre, avec lequel il rompt au début de novembre, et s'allie aux Girondins. Lors du procès de Louis XVI, il vote l'appel au peuple et la mort avec sursis. Au printemps 1793, il entre en conflit avec la Commune de Paris, qui échappe aux Girondins après la démission de Chambon, accélérant la rupture entre Girondins et Montagnards. Toutefois, il vote contre la mise en accusation de Marat.
Edité par A Vesoul, Poirson, 1791, 1791
Vendeur : Librairie Historique F. Teissèdre, SAUVE, France
Membre d'association : ILAB
EUR 40
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierin-8, 16 pp., dérelié. Sur la fuite du roi à Varennes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT.
Edité par Paris, Imprimerie Nationale, s.d. (1791), 1791
Vendeur : Librairie Historique F. Teissèdre, SAUVE, France
Membre d'association : ILAB
EUR 40
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierin-8, 15 pp., en feuilles. Médecin, député de Nancy à la Constituante, Salle fut proche des Girondins et défendit l'inviolabilité du Roi après la fuite à Varennes. A la Convention, il fut le premier à demander l'appel au peuple. Dans cette Opinion, il juge le roi avec modération : Louis XVI a été trompé, il voulait se mettre à l'abri de la fureur du peuple et donner des observations à l'Assemblée depuis un endroit sûr. Martin & Walter, IV, 30880. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT.
Edité par Versailles, Imprimerie du Département de Seine-et-Oise, 1792
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale Signé
EUR 330
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-quarto broché 4 pages.- Barthélémy CORDERANT, secrétaire du district de Versailles pendant les premières années de la Révolution a signé de sa griffe ou de sa main, la dernière page du document. - - - - Après une période d'expérimentation dès la Régence, au début du XVIIIe siècle, les passeports sont abolis dans les premiers temps de la Révolution, au nom de la liberté de circulation, qui est l'un des premiers droits énoncés par la Constitution de 1791. Mais leur usage est vite rétabli, en droit sinon en fait, avec une multitude de décrets et de lois. Après la tentative de fuite du roi, arrêté à Varennes, le décret du 1er février 1792 rend obligatoire la détention d'un passeport pour circuler dans le pays ; la loi des 1er février - 28 mars 1792 rendit le passeport obligatoire pour toute personne voulant voyager dans le royaume1; le décret du 7 décembre 1792, promulgué par la Convention nationale, permit à l'administration de refuser d'émettre un passeport à quelqu'un qui le demande décret qui a « force de loi » selon le Conseil d'État (Loi du 29 juillet 1792). Signé par l'auteur.
Edité par A Paris, chez Devaux,, 1791
Vendeur : Librairie ancienne du Vivarais, Saint Etienne de Boulogne, France
EUR 400
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierHistoire de la fuite de Louis XVI à Varennes.[.] Nouvelle de la fuite du Roi. - Rapport d'un aide de camp de la Fayette. - Discours de Barnave sur la confiance due à la Fayette. - Rapport de Duport envoyé au secours de la Fayette. - Discours de la Fayette. - compte rendu d'un commissaire envoyé au secours de l'aide de camp de la Fayette. - Arrété de la section de la Croix-Rouge. - Députations des ci devant bretons. - Nouvelle de l'arrestation du Roi. - Lettre et arrété du département du Loiret. - Lettre du département siégeant à Beauvais. - Lettre du département de l'Ain. - Admission à la Barre de Mangin, premier courrier de Varennes. - Lettre de la Fayette. - Députation du Directoire du district de Clermont. - Admission à la Barre de Drouet et Guillaume, qui ont arrété le Roi. - Lettre des administrateurs de Verdun. - Discours d'Etienne Méjean du département de l'Hérault. - Lettre d'un officier municipal de Lille. - Rapport de Barnave sur lee voyage du Roi. - Lettre de M. d'Estaing. - Lettre de Sedan. - Lettre de Montmédi. - Rapport sur les évènemens relatifs à l'évasion du Roi. [.]. in-8, titre, 1 feuillet non chiffré, 500 pages, exemplaire à pleines marges ; Reliure: demi chagrin, dos à nerfs, orné (fleurons), couverture muette d'attente conservée, mors légèrement frottés.
Edité par [Colophon: A Paris], [De l'Imprimerie royale.], 1791
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
EUR 400
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-4, broché sous couverture d'attente de papier ancien de l'époque, exemplaire en parfaite condition (cf le scan de la couverture), . 2 pages. Nantucket est une île américaine au large de Boston, principal centre de pêche à la baleine de la côte est jusque vers 1850. "Il sera aussi permis aux habitants de l'île de Nantucket, qui désireront venir s'établir en France pour se livrer à la pêche à la baleine, de s'y transporter avec tous leurs effets & bâtimens propres à ladite pêche?". Les impressions connues de Caen, Alençon, Dijon et Marseille sont postérieures de plusieurs jours, à celle-ci l'originale. Cette loi fait référence au décret des 21 et 25 juin 1791, dates de la fuite de Varennes et du retour du Roi. Ce moment clé de la chute du pouvoir royal a été supplée pour quelques mois par l'influence de Lafayette, qui a lui-même pu être à l'origine de cette entorse à la concurrence commerciale. En 1602, lors d'un voyage, le capitaine anglais Bartholomew Gosnold, originaire de Falmouth, aperçut l'île. Les indigènes étaient des Amérindiens Wampanoags qui y vécurent paisiblement jusqu'en 1641, date à laquelle les autorités anglaises conférèrent à Thomas Mayhew (en) et son fils l'exploitation de la côte du Maine jusqu'à New York. Comme les Européens commençaient à s'établir au cap Cod, l'île de Nantucket devint un refuge pour les Amérindiens de la région. Ceux-ci furent bien accueillis comme main-d'oeuvre pour pêcher et découper les baleines sur le rivage. Le peuplement de Nantucket commença en 1659 et l'île devint rapidement le principal port de pêche à la baleine, faisant la richesse de la ville. À partir de 1850, la pêche à la baleine est sur le déclin, entraînant une crise économique sur l'île, amplifiée par le grand incendie de 1846 qui dévasta la principale ville. L'ensablement du port fut aussi une des causes de l'émigration qui toucha alors l'île. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - In-4, paperback under cover of old paper waiting of the time, copy in perfect condition (see the cover scan), 2 pages. Nantucket is an American island off Boston, the main whaling center of the east coast until about 1850. "It will also be allowed to the inhabitants of Nantucket Island, who wish to settle in France to engage to whaling, to move there with all their effects and facilities proper to the fishing? " The known impressions of Caen, Alençon, Dijon and Marseilles are posterior of several days, to this one the original one. This law refers to the decree of 21 and 25 June 1791, dates of the flight of Varennes and the return of the King. This key moment in the fall of royal power was supplemented for a few months by the influence of Lafayette, who himself may have been at the origin of this distortion of commercial competition. In 1602, during a trip, the English captain Bartholomew Gosnold, from Falmouth, saw the island. The natives were Wampanoag Amerindians who lived there peacefully until 1641, when the English authorities conferred on Thomas Mayhew and his son the exploitation of the Maine coast to New York. As Europeans began to establish themselves at Cape Cod, Nantucket became a haven for Native Americans in the area. These were welcomed as labor for fishing and cutting whales on the shore. The settlement of Nantucket began in 1659 and the island quickly became the main whaling port, making the city's wealth. From 1850, whaling was on the decline, causing an economic crisis on the island, amplified by the great fire of 1846 that devastated the main city. The silting of the port was also one of the causes of the emigration that affected the island.
Edité par Versailles, Imprimerie du Département de Seine-et-Oise, 1791
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale Signé
EUR 1 200
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-quarto broché sous couverture de papier ancien, 34 pages. Exemplaire en état parfait - PERFECT COPY LIKE NEW - Barthélémy CORDERANT, secrétaire du district de Versailles pendant les premières années de la Révolution a signé de sa griffe ou de sa main, la dernière page du document. - - - - - Les origines de la Constitution de 1791 sont multiples ; elle est issue de la révolution anglaise de 1688-1689 qui avait renversé les Stuart pour établir une monarchie parlementaire, de mouvements de pensées philosophiques et politiques hérités des Lumières et du mouvement appelé ultérieurement révolution atlantique. La motion ne reçoit pas immédiatement satisfaction. Il reste, en effet, nombre de questions qui n'ont pas été discutées. D'autre part, à la suite des événements du Champ-de-Mars, du 17 juillet 1791, le triumvirat Duport, Barnave et Alexandre de Lameth, ainsi que les Fayettistes, obtiennent une révision des décrets constitutionnels dans un sens favorable aux pouvoirs du roi et au resserrement de l'électorat. Le 1er septembre 1791, du Pont de Nemours propose à la Constituante de « déclare[r] que la Constitution est terminée, et qu'elle ne peut y rien changer »25. Roederer demande que la Constituante délibère sur le champ. Salle et Muguet de Nanthou appuient la motion de Roederer. Mais Frochot demande que la délibération soit reportée. Camus propose alors à la Constituante de « décréte[r] que l'acte constitutionnel ne sera présenté au roi que lorsqu'il aura été relu [par la Constituante et que celle-ci] aura déclaré qu'elle n'y changera rien, et qu'elle ne permettra pas qu'il y soit apporté aucun changement ni modification ». Le 3 septembre 1791, Lanjuinais, afin de couper court aux manoeuvres dilatoires, fait adopter une motion par laquelle la Constituante « déclare que la Constitution est terminée, et qu'elle ne peut y rien changer ». Antoine d'André et Paul de Lavie font adopter par la Constituante des motions tendant à ce que le président nomme, à l'instant, une députation de soixante membres pour présenter, dans le jour, sans discours, la Constitution au roi. Le président nomme Jacques-Guillaume Thouret, Adrien Duport, Jean-Nicolas Démeunier, Le Chapelier, Emmanuel-Joseph Sieyès, Pétoa, La Métherie, Crillon jeune, Merlin, Babey, Trenbard, Arnoult, La Rochefoucauld, Étienne Schwendt, Blancar, d'André, Henri Pougeard du Limbert dit Pougeard-Dulimbert, Antoine de Mailly dit Mailly-Châteaurenaud, Couppé, Broglie, Lesterpt, Bertrand Barère dit Barère-Vieuzac, Michel Gérard, Dominique Garat dit Garat-Cadet ou Garat-Jeune, Lavie, Malo, Camus, Lapoule, François Tronchet, Bon Briois de Beaumetz dit Briois-Beaumetz, Alexandre de Lameth, Rabaud, Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, Target, Buzot, Barnave, Augustin Le Goazre de Kervélégan dit Kervélégan, Monaeron aîné, François Mathieu de Rondeville dit Mathieu-Rondeville, Jean Brillat-Savarin, Charles Christin, François Boissonnot, Mollien, Chabroud, Liancourt, Long, Chaillon, Darche, Antoine Mougins de Roquefort dit Mougins-Roquefort, Guillaume, Louis de Bouteville du Metz dit Boutteville-Dumetz, Pierre-François Gossin, Marchais, Michel Regnaud dit Regnaud de Saint-Jean d'Angély, Gourdan, Prévost, Prieur et Henri d'Arnaudat dit Darnaudat. C'est dans ce contexte que, le 13 septembre 1791, Louis XVI accepte la constitution par un message adressé à la Constituante Le lendemain, 14 septembre, Louis XVI réitère son acceptation et prête serment à la constitution. La constitution est promulguée par une loi datée du 14 septembre 1791. Elle est ensuite publiée. Signé par l'auteur.
Edité par Paris, De l'Imprimerie Nationale, 1791, 1791
Vendeur : Librairie Historique F. Teissèdre, SAUVE, France
Membre d'association : ILAB
EUR 50
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierin-8, 15 pp. Sur la fuite du roi à Varennes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT.
Date d'édition : 1791
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
EUR 85
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Bon. In-8, broché, couverture moderne, Paris, 1791, 6 pp. L'auteur se fait le porte-parole, sans proposer de solution définitive, d'un des dilemmes autour de Louis XVI. Il est question d'accorder la responsabilité de nommer un gouverneur pour le Dauphin Louis-Charles, duc de Normandie. Le problème étant que si on donne cette responsabilité à l'Assemblée on ôte ses droits de père à Louis XVI, et si on donne cette responsabilité à ce dernier on prend le risque de le conforter dans une posture d'opposition à la Constitution, surtout après la fuite qui s'est arrêtée à Varennes quelques temps plus tôt. « Aujourd'hui la courte absence de Louis XVI a tellement donné l'éveil à tous les esprits, que l'opinion publique attribue exclusivement à l'Assemblée nationale le droit de nommer le Gouverneur sans l'intervention du roi. C'est donc la fuite du chef de la monarchie, source de tant d'autres maux, qui a fait passer ainsi l'opinion publique d'un extrême à l'autre. [.] Aujourd'hui l'Assemblée nationale nommera le Gouverneur du fils, sans consulter le père ; ce qui sera barbare. On eut péché contre la Constitution, on pèchera contre la nature. » Cette candidature de Bacon s'intitulant « Électeur de 1790 » empreinte de modestie réelle ou supposée est suivie d'un post scriptum utilisant une succession de sophismes contre les partisans de la République.
Edité par Versailles, Imprimerie du Département de Seine-et-Oise, 1791
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale Signé
EUR 120
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-quarto broché 4 pages. Exemplaire en état parfait - PERFECT COPY LIKE NEW - Barthélémy CORDERANT, secrétaire du district de Versailles pendant les premières années de la Révolution a signé de sa griffe ou de sa main, la dernière page du document. Cette proclamation royale exhorte les nobles qui se sont exilés ou qui y songent à abandonner la patrie à rester et à ne pas l'abandonner. Le roi condamne "la foule de citoyens qui abandonnent leur Pays & leur roi, & vont porter chez des nations voisines, des richesses que sollicitent les besoins de leurs concitoyens". Seulement un peu moins de quatre mois après la fuite qui s'est arrêtée à Varennes le roi demande aux puissants du royaume de ne pas faire ce que lui-même a tenté. Signé par l'auteur.
Edité par [Paris], 1er mars 1791, 1791
Vendeur : Librairie Historique F. Teissèdre, SAUVE, France
Membre d'association : ILAB
EUR 400
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierin-4 oblong (26 x 36 cm), texte dans un bel encadrement allégorique à motifs militaires et patriotiques (canons, faisceaux, tonneaux de poudre, hallebardes, etc.) gravé par A. D. Fackenhof d'après Bayon, Beau document imprimé sur parchemin.Brevet accordé à Antoine Pacotte, âgé de 46 ans, demeurant rue des Ciseaux [actuel VIe arrondissement], pour servir en qualité de volontaire dans le 7e bataillon de la deuxième division de la Garde nationale de Paris.Parmi les signatures des officiers du 7e Bataillon, figure celle du commandant, Claude Bayon [de Bermond], résidant dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés. Non seulement c'est lui l'auteur du décor encadrant les brevets de son unité, mais il joua encore un rôle important - encore que passé sous silence - dans la fuite de Varennes. C'est en effet lui qui devait obtenir, le 21 juin 1791, les pouvoirs de Bailly et de La Fayette (sous lesquels était placée la Garde nationale) pour se mettre à la recherche du Roi, et qui donna l'ordre à Jean de Lagny d'alerter les Gardes nationales sur la route de Metz, et d'arrêter la berline en fuite. Il fit imprimer, après le retour du Roi, deux plaquettes documentant son action, et livrant de l'événement une version notablement différente de celle de Drouet : Rapport sommaire et exact de l'arrestation du Roi à Varennes (Martin & Walter, 2159) et Pétition à l'Assemblée nationale demandant une mention honorable pour avoir ramené le Roi de Varennes à Paris (MW 2159). Le personnage tomba complètement dans l'oubli par la suite, à la différence du trop fameux Drouet, qui avait su faire fructifier son action avec habileté. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT.
Edité par Douai, Imprimerie de François Descamps, 1793, 1793
EUR 1 200
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierIn-folio (430 x 310 mm) de 9 doubles ff., demi-veau émeraude, dos lisse, titre doré en long, tranches nues (reliure du XIXe siècle). Précieux document historique de la période de la Terreur. Daté de Douai, alors chef-lieu du département du Nord, le 20 août 1793, ce grand placard révolutionnaire en feuillets raboutés montés sur onglets en un volume in-folio, publie les noms, classés par districts, de toutes les personnes portées sur la liste des émigrés. Le département du Nord comptait 8 de ces subdivisions, mises en place de 1790 à 1795: Avesnes, Bergues, Cambrai, Douai, Lille, Hazebrouck, Valenciennes, et Le Quesnoy. Ces feuillets se présentent sous la forme de tableaux à colonnes donnant le nom, de famille et de baptême, des proscrits, leur profession ou qualité, ainsi que leur ancien domicile. Une dernière colonne laissée vierge était destinée aux "observations". Le phénomène de l?émigration, touchant d?abord les aristocrates, apparut au début de la Révolution, certains membres de la famille royale, tel le comte d?Artois donnant l?exemple dès juillet 1789. Les tantes du roi suivirent, avant le comte de Provence en juin 1791, et la malheureuse tentative avortée de la fuite à Varennes. Face à une partie de la noblesse et du clergé, les deux principales catégories concernées, qui avait choisi l?exil, l?Assemblée législative vota sans succès diverses mesures d?obligation au retour. Après la chute de la monarchie et l?organisation d?une armée des princes au service des ennemis de la République, la Convention condamna désormais à mort les émigrés arrêtés et fit inscrire leurs noms sur des listes. La période de la Terreur qui vit l?exacerbation de ces mesures s?appliqua de manière particulièrement inflexible dans le département du Nord. Ce territoire frontière, était en effet placé sous la menace de l?invasion des armées coalisées après les défaites de Dumouriez dans les Pays-Bas, puis sa trahison. En outre, alors qu?au même moment la Vendée se soulevait, le Nord était, avec les départements de l?ouest, un de ceux qui comptait la proportion la plus élevée (79 %) de membres du clergé ayant refusé de prêter serment à la Constitution civile du clergé. Parmi les plus de 1200 individus inscrits sur ces listes de proscription, figurent à la première place ? par exemple 111 sur un total des 183 noms du district d?Avesne - les membres de ce clergé réfractaire; pêle-mêle "ex-curé", "ex-religieux", "ex-chanoinesse", "vicaire", "ex-récollet", "oratorien", "ex-prieur", "ex-capucin", "ci-devant s?ur grise", "ci-devant trinitaire", "ex-lazariste", "ex-archevêque" (de Cambrai, Ferdinand de Rohan), "ex-bénéficier", "prêtre réfractaire", "ex-coûtre" (c'est-à-dire prêtre sacristain), "ex-Augustin", "ex-jésuite", "ci-devant carme-déchaussé", etc. Aristocrates et militaires, souvent des officiers nobles, constituent en nombre la seconde catégorie de proscrits. Aux récurrents "ex-seigneur", s?ajoutent les "ex-vicomte", "ex-chevalier de St.-Louis", "Alexandre de Montmorency ex-prince de Robecq", et toute la litanie des ci-devant: "ci-devant marquis", "ci-devant écuyer", "ci-devant princesse" (de Berghes), "ci-devant comte", "ci-devant baron de Landas", "ci-devant marquis d?Aoust", "ci-devant baron de Comerford", "ci-devant seigneur", "Hespel ci-devant de Guermanez", "Guistelle ci-devant marquis", "de Vignacourt ci-devant marquis", "Derouvroy ci-devant [baron] de Fournes", etc. À leurs côtés, figurent tous les "Ancien capitaine d?infanterie", "capitaine au régiment de Bourgogne", "Officier du régiment d?Armagnac", Soldat du ci-d. Beauce", "officier du génie", "d?artillerie", "de dragons", "de chasseur", "de cavalerie", "ex-capitaine de Berri", "Colonel du génie", "capitaine de vaisseau", "maréchal de camp", "ci-devant aide-de-camp", "ancien major de la garde Nat.", "ci-devant lieutenant de gendarmerie", etc. Outre ces catégories surreprésentées, sont également inscrits sur cette liste des représentants des élites politiques, "ex-président du département.
Vendeur : MAGICBOOKS, Plélan-le-Grand, France
Edition originale Signé
EUR 15 000
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierDemi-cuir. Etat : Bon. Ed. originale. Ensemble exceptionnel de 1043 documents officiels imprimés à Paris par l'Imprimerie Royaleentre le 14 octobre 1790 et le 26 mars 1792, tous en édition originale en bon état, reliés en huit fort volumes in-4°. Ils comportent tous le cachet rouge de l'Etat portant: LOUIS XVI P[ar] L[a] G[râce] D[e] DIEU ET P[ar] L[a] LOY CONSTITUTIONNELLE ROY DES FRANÇOIS et sont marqués par la griffe du Ministre de la Justice Marguerite-Louis-François Duport-Dutertre [ M l f DuPort ], sauf les dix dernières qui le sont par celle du Ministre de la Justice par intérim Roland ainsi que les quatre lois visées par l'archevêque de Bordeaux. 2 lois sont signées de la main du Ministre (autographe de M.L.F. Duport); et 1 lettre rectificative manuscrite signée du même Duport et contresignée par Lucas de Montrocher. 4 lois sont signées"??? de Bordx" (archevêque de Bordeaux ?). Soit 999 Lois données entre le 14 octobre 1790 et le 26 mars 1792 ; 24 Décrets du 21 au 24 juin 1791 suite à la Fuite de Varennes ; 20 Actes du Corps législatif, Non sujet à la Sanction du Roi du 21 novembre 1791 au 16 mars 1792. Huit volumes d'époque marqués Greffe sur chaque plats (reliure demi-cuir, plats vélin, dos à nerfs titré LOI, traces de frottements, mors fendus, quelques manques de cuir, documents originaux en bon ou très bon état, quelques décharges d'encre liées aux griffes de Duport et Roland ou du cachet de l'état). Format 20,7 x 26 cm. Poids 13,8 kg. Liste intégrale des titres des 1043 documents disponible sur demande. Ensemble inséparable (aucune vente à la pièce). Sont notamment présents les documents suivants: La Constitution Françoise avec la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen // Les deux lois concernant La Pérouse[ Loi Relative à la découverte des deux Frégates Francoises la Boussole et l'Astrolabe commandées par M. de la Pérouse + Loi Relative à M. de la Peyrouse et à l'impression des Cartes par lui envoyées ] // Loi Portant que tout homme est libre en France, et que, quelleque soit sa couleur, il y jouit de tous les droits de Citoyen, s'il a les qualités prescrites par la Constitution // Loi Code Militaire // Loi En forme d'Instruction, pour la Procédure criminelle // Loi Code Pénal // Loi Relative aux Juifs // Loi Relative à l'Organisation de la Gendarmerie nationale // Loi Contenant le Tarif général des Droits qui seront perçus à toutes les entrées et sorties du Royaume // Loi Portant qu'il y a lieu à accusation contre le Cardinal de Rohan et autres // Loi Relative aux secours accordés aux Officiers, tant civils que militaires, Acadiens et Canadiens, et à leurs familles // Loi Relative aux Colonies avec l'exposé des motifs qui en ont déterminé les dispositions // Loi Sur la répartition des Trois cents millions de Contributions foncières et mobiliaire pour l'année 1791 // Loi Relative au mémoire en forme d'instruction destiné pour les Colonies (avec le mémoire "Instruction pour les Colonies Françoises") // Loi Relative aux Nantucquois établis en France, et à ceux qui désireroient y venir dans la suite // Loi Relative à M. l'Abbé de l'Epée et à son établissement en faveur des Sourds et Muets // Loi Relative à la nouvelle organisation de la Garde Nationale Parisienne soldée // Loi Portant abolition de toutes procédures instruites sur les faits relatifs à la révolution, Amnistie générale en faveur des hommes de guerre, et révocation du Décret du 1er Août dernier, relatif aux émigrans // Loi Qui règle la forme des Brevets des Officiers de tous grades, et celle des Engagemens des Soldats // Loi Portant réunion du Comtat d'Avignon à la France // Loi Portant suppression des Ingénieurs-Géographes militaires, créés en 1777 // Loi Portant que le Sceau dont le Corps législatif se servira, portera ces mots: la Nation, la Loi et le Roi // Loi Relative aux Eaux-de-vie de grains, dites de genièvre // Loi Relative aux Fabricateurs et Distributeurs de faux Assignats et de fausse monnoie // Loi Relative à l'administration de la Marine // Loi Qui détermine les cas. Signé par l'auteur. Livre ancien.
Edité par Gallimard; Paris, 1970
Langue: allemand
Vendeur : Fundus-Online GbR Borkert Schwarz Zerfaß, Berlin, Allemagne
EUR 119
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierEtat : Gut. Bibliotheque de la Pleiade. XXXII; 1529 S. und 1686 S.; 17,5 cm. 2 Orig.-Lederbände mit OUmschlägen. Gute Exemplare / 2 BÄNDE; stw. minimale Gebrauchs- und Lagerspuren. - DÜNNDRUCK. - Französisch. - Jules Michelet (* 21. August 1798 in Paris; 9. Februar 1874 auf Hyères, Frankreich) war ein französischer Historiker des 19. Jahrhunderts. Nach Lehrtätigkeiten am Collège Rollin (Paris, 1821) und an der École normale supérieure (1830) wurde er Sektionschef am Nationalarchiv. Michelet war ein Verfechter der Demokratie, patriotisch bzw. nationalistisch gesinnt und ebenso heftiger Gegner der Klerikalen. In seinen Werken deutete er die Geschichte Frankreichs in diesem Sinne: Hauptakteur ist das Volk (le peuple), Ziel ist die Schaffung einer französischen Nation (la nation). Zu den besonders glorifizierten Ereignissen in seiner monumentalen Histoire de France (1833) zählen das Auftreten der Jeanne d'Arc und die Französische Revolution. Aufgrund der universalen Errungenschaften der Revolution, die der gesamten Menschheit Nutzen gebracht hätten, gebührt Frankreich Michelet zufolge ein besonderer Platz unter den Nationen. Damit wurde er zum Vater der republikanisch-nationalen ("jakobinischen") Geschichtsschreibung, die vor allem zur Zeit der Dritten Republik einflussreich war. 1838 wurde er Mitglied der Académie des sciences morales et politiques sowie Professor für Geschichte am Collège de France. (wiki) // INHALT : . CHAP. II. - Resistances. - Le Clerge (o&obre-no- --- vembre 89). --- CHAP. III. - Resistances. - Clerge. - Parlements. - --- fitats provinciaux. --- CHAP. IV. - Resistances. - Parlements. - Mouve- --- ment des Federations. --- CHAP. V. - Resistances. - La Reine et l'Autriche --- (octobre-fevrier). --- CHAP. VI. - La Reine et l'Autriche. - La Reine et --- Mirabeau. - L'Armee (mars-mai 90). CHAP. VII. - Lutte religieuse. - Paques. - La passion --- de Louis XVI. --- CHAP. VIII. - Lutte religieuse. - Succes de la Contre- --- Revolution (mai 90). --- CHAP. IX. - Lutte religieuse. - La Contre-Revolution --- ecrasee dans le Midi (juin 90). --- CHAP. X. - Du nouveau principe. - Organisation --- spontanee de la France (juillet 89- --- juillet 90). --- CHAP. XI. - De la religion nouvelle. - Federations --- (juillet 89-juillet 90). --- CHAP. XII. - De la religion nouvelle. - Federation ge- --- nerale (14 juillet 90). --- LIVRE IV JUILLET I79O ---- JUIN 1791 --- CHAP. I. - Pourquoi la religion nouvelle ne put se --- formuler. - Obstacles interieurs. CHAP. II. - Obstacles exterieurs. - Deux sortes d'hypo- --- crisie : hypocrisie d'autorite, le pretre CHAP. III. -Massacre de Nancy (31 aout 90). --- CHAP. IV. - Les Jacobins. --- CHAP. V. - Lutte des principes dans l'Assemblee et --- aux Jacobins. --- CHAP. VI. - Les Cordeliers. --- CHAP. VII. - Impuissance de l'Assemblee. - Refus du --- serment (novembre 90-janvier 91). --- CHAP. VIII. - Le premier pas de la Terreur. --- CHAP. IX. - Premier pas de la Terreur. - Resistance --- de Mirabeau. --- CHAP. X. - Mort de Mirabeau (2 avril 91). --- CHAP. XI. - Intolerance des deux partis. - Progres --- de Robespierre. --- CHAP. XII. - Precedents de la fuite du Roi. --- CHAP. XIII. - Fuite du Roi a Varennes (20-21 juin 91). CONCLUSION. --- LIVRE V --- JUIN - SEPTEMBRE 1791 --- CHAP. I. - Impression de la fuite du Roi (21-25 )uin --- I791). * --- CHAP. II. - Le Roi et la Reine ramenes de Varennes --- (22-25 juin 91). ( --- CHAP. III. - Indecisions, variations des principaux ac- --- teurs politiques (juin 91). ( --- CHAP. IV.-La societe en 91.-Le salon de Condorcet < --- CHAP. V. - Madame Roland. 1 --- CHAP. VI. - Le Roi interroge. - Premiers aftes repu- --- blicains(26 juin-14 juillet9i). 1 --- CHAP. VII. -L'Assemblee innocente le Roi (15-16 juill. --- CHAP. VIII. - Massacre du Champ-de-Mars (17 juill. 91) CHAP. IX. - Les Jacobins abattus, releves (juillet 91). CHAP. X. - La revision. - Alliance marquee entre --- la gauche et la droite (aout 91). --- CHAP. XI. - Pretres et Jacobins. - Vente des biens --- nationaux (septembre 91). --- LIVRE VI --- OCTOBRE 1791 - 9 AOUT 1792 --- CHAP. I. - Le premier elan de la guerre. - L'ouver- --- ture de PAssemblee legislative (oft. 91) --- CHAP. II. - Revolution d'Avignon, en 90 et 91. - --- Meurtre de Lescuyer (16 oftobre 91). --- CHAP. III. - Vengeance de Lescuyer, massacre de la --- Glaciere (16-17 octobre 91). --- CHAP. IV. - Decrets contre les emigres et les pretres. - Resistance du Roi (nov.-dec. 91). CHAP. V. - Suite de la question de la guerre. - Madame de Stael et Narbonne au pouvoir --- (decembre9i-mars92). --- CHAP. VI. - MiniStere girondin, declaration de guerre --- (mars-avril 92). --- CHAP. VII. - Renvoi du miniStere girondin (mai-juin --- 1792). --- CHAP. VIII. - Le 20 juin. - Les Tuileries envahies, le --- Roi menace. --- CHAP. IX. - Imminence de Pinsurre&ion (juillet-aout --- 1792). --- CHAP. X. - La veille et la nuit du 10 aout --- CHAP. V. - La Vendee (mars 93). --- CHAP. VI. - Trahison de Dumouriez (mars-avril 93). CHAP. VII. - Comite de salut public (avril 93). CHAP. VIII. - Tribunal revolutionnaire. - Maximum. --- - Requisition (avril-mai 93). --- CHAP. IX. - Le moderantisme. - Les comites revolu- --- tionnaires (mai 93). --- CHAP. X. - Le 31 mai. - Impuissance de l'insurrec- --- tion. --- CHAP. XL - ArreStation des Girondins. --- LIVRE XI --- CHAP. I. - Paris et la Convention. --- CHAP. II. - La Constitution de 93. --- CHAP. III. - Les Girondins (juin 93). --- CHAP. IV. - Immobilite, ennui. - Second mariage de --- Danton (juin 93). --- CHAP. V. - Les Vendeens. - Leur appel a l'etranger --- (mars-juin 93). --- CHAP. VI. - Siege de Nantes. --- LIVRE XII --- CHAP. I. - Efforts de paciBcation. - Missions des Dantonisles; mission de Lindet (juin-juillet 93). --- CHAP. II. - Mission de Philippeaux. - Mort de Meuris (juillet 93). --- CHAP. III. ?- Mort de Marat (13 juillet 93). --- CHAP. IV. - Mort de Charlotte Corday (19 juillet 93). --- CHAP. V. - Mort de Chalier (16 juillet 93). --- CHAP. VI. - Regne anarchique des HebertiStes. - D.