Edité par Librarie Armand Colin, Paris, 1968
Langue: français
Vendeur : Oxfam Bookshop Gent, Gent, Belgique
Edition originale
EUR 30
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierHardcover. Etat : Good. No Jacket. 1st Edition. xv - 194 pp. Librarie Armand Colin, Paris, 1968. Cahiers de la fondation nationale des sciences politiques, 165. Le Mouvement rexiste jusqu'en 1940. Première édition. Couverture rigide, relié avec les couvertures souples originales inclues. Couvertrues en bougran rouge avec des dorures sur le dos. Queue, coiffe et bords légèrement usagés. Quelques passages sont indiquées en crayon dans la marge. Ex Libris de la Bibliothèque de l'Université de Gand avec des numéros, étampes et étiquettes.
Edité par Paris : Colin Collection: Fondation nationale des sciences politiques. Cahiers. , 165., 1968
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
EUR 80
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Bon. Edition originale. ln-8° broché, XIV+ 191 pages Le rexisme était un mouvement politique d'extrême droite, nationaliste et antibolchévique en Belgique, entre les années 1930 et 1945. Il était proche du fascisme italien, du phalangisme en Espagne ou de la Garde de fer de Corneliu Zelea Codreanu en Roumanie, puis après 1941, du nazisme. Issu des éditions catholiques Rex, dont Léon Degrelle prit la direction en 1930, le rexisme devint un mouvement politique indépendant à la charnière des années 1935 et 1936 pour devenir le plus dangereux rival du Parti catholique, lors des élections législatives du 24 mai 1936. Après un succès électoral, le mouvement rexiste subit une lourde défaite le 11 avril 1937, lorsque Degrelle fut battu par Paul Van Zeeland lors d'une élection législative partielle à Bruxelles. Marginalisé dans la vie politique belge et en proie à de graves divisions internes, Rex devint de plus en plus fasciste et fut le symbole de la collaboration belge avec l'occupant allemand. Se fondant sur le traditionalisme clérical1 et se réclamant de l'enseignement de l'Église catholique, malgré la ferme opposition de l'épiscopat belge2, l'idéologie du rexisme appelait au « renouveau moral » de la société belge, en aspirant au départ à la formation d'un État corporatiste1 et à l'amendement de la démocratie en recourant au renforcement de l'exécutif. Mouvement profasciste1, il tire son nom de la maison d'édition fondée en 1926 qui utilise l'expression « Rex » en référence à l'encyclique Quas primas de Pie XI1, qui prônait la royauté sociale du Christ. Le mouvement rexiste attira des partisans principalement parmi les Wallons et les Bruxellois francophones tout en essaimant quelque peu au Nord du pays, parmi les francophones de Flandre. Mais dans cette dernière région, il subissait la concurrence d'un autre mouvement d'extrême droite : le Vlaams-Nationaal Verbond (VNV). Parmi les membres les plus influents du parti, il y avait Léon Degrelle, mais aussi d'autres personnalités telles que José Streel, Louis Collard, Raphaël Sindic, Paul De Mont ou encore Victor Matthys. Ce dernier deviendra le chef par intérim du mouvement lorsque Degrelle combattait sur le front de l'Est. Rex s'établit pour de bon en tant que formation politique distincte à l'approche du printemps 1936, année où il allait obtenir le 24 mai, 21 sièges (sur 202) à la Chambre des représentants (soit 11% des suffrages). Assez rapidement, après l'arrivée au pouvoir d'Adolf Hitler en Allemagne, il commença à s'aligner progressivement sur les positions géopolitiques allemandes et à incorporer à partir de l'été 1937, un antisémitisme inspiré par les idées d'Action française mais faisant le jeu de son pendant nazi. En outre, après avoir perçu des subsides du régime fasciste de Mussolini, surtout en 1936-1937, il reçut à la veille de la guerre de discrets coups de pouce financiers des partisans du Troisième Reich Au début de l'Occupation, achevant sa mue fascisante, le rexisme s'aligna sur les positions de l'occupant allemand et en vint à radicaliser son engagement face aux réticences de l'establishment belge pour lui concéder une part d'influence politique et sociale. En janvier 1941, poussant le cri de : Heil Hitler! tant dans les colonnes de son journal, Le Pays réel, qu'au palais des sports de Liège, Degrelle brûlait en quelque sorte ses vaisseaux et optait pour une sorte de fuite en avant. Dès le déclenchement de l'opération Barbarossa, la Legioen Vlaanderen et la Légion belge Wallonie - deux formations militarisées, composées de volontaires et levées avec l'autorisation de l'occupant - envoyèrent respectivement, au départ, 405 (6 août 1941) et 875 hommes (8 août 1941) pour combattre les troupes soviétiques. D'autres détachements suivront, et la Légion belge Wallonie, devenue en juin 1943 une Brigade SS puis, tardivement, la 28e SS-Division « Wallonien » finira par entraîner à sa suite près de 7 800 hommes. Durant l'occupation, les rexistes s'infiltrèrent dans les parastataux.
Edité par Librairie Armand Colin, 1968
Langue: français
Vendeur : Librairie du Bassin, Bordeaux, France
Edition originale
EUR 295
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Assez bon. Coll. "Cahiers de la Fondation Nationale des Sciences Politiques". Vol. n°165. Politique. Préface de Leo Moulin. XIV + 194 p. 16x24 cm. 194 p. Broché. Etat correct. Gauchi. Couverture défraîchie tachée et frottée en tête du 1er plat. Infime mouillure (?) marginale en tête des premières pages : franchement très claire. Absence de la page de garde et de faux-titre. Au moins une accolade en marge. Vendu en l'état. Odeur de vieux livre. in-8° édition originale. EO. Exemplaire du Service de Presse. SP (en pointillés/perforations sur le 4e plat).