Edité par Citadel Press,, NY:, 1947
Vendeur : Grendel Books, ABAA/ILAB, Springfield, MA, Etats-Unis
Edition originale
EUR 18,11
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierHardcover. Etat : Very Good. Etat de la jaquette : Very Good. Translated from the French. Edited, with an introduction, by Joseph M. Bernstein. First edition. Very good in a very good ( short closed - tape repaired - edge tear at the top of the front panel, age darkened along the spine) dust jacket.
Edité par Ohio University Press, Athens, 1981
ISBN 10 : 0821406434 ISBN 13 : 9780821406434
Langue: anglais
Vendeur : Bolerium Books Inc., San Francisco, CA, Etats-Unis
Edition originale
EUR 40,31
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierPaperback. [viii] 359p., bilingual French/English poems on facing pages, preface, introduction, note on translations, portraits, footnotes, index, lightly-worn first edition trade paperback in wine wraps.
Edité par Ohio University Press, Athens, OH, 1981
ISBN 10 : 0821405578 ISBN 13 : 9780821405574
Langue: anglais
Vendeur : Fahrenheit's Books, Denver, CO, Etats-Unis
Membre d'association : RMABA
Edition originale
EUR 45,29
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierHardcover. Etat : Very Good+. Etat de la jaquette : Very Good+. First Edition. First edition, hardcover, has light bumps to the spine ends, mild wear to the cover corners, and tiny specks to the cloth. Overall, a Very Good+ copy in a like, unclipped dust jacket, which has light bumps to the spine ends and cover corners, and rubbing to the covers. The jacket is wrapped in Mylar.
Edité par Paris et Londres Maggs Bros, 1937
Vendeur : PRISCA, Paris, France
Edition originale
EUR 29
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. Grand in-8, agrafé, 67 pp., frontispice sur papier couché et nombreuses reproductions en fac-similé. Un précieux catalogue de 232 numéros (pour la plupart exceptionnels) : éditions originales, manuscrits et dessins des trois poètes.
Edité par L'Humanité Hebdo - Numéro 18716 - Samedi 16 et Dimanche 17 Octobre, 2004
Vendeur : Bookinerie, LAVAL, France
Magazine / Périodique Edition originale
EUR 29
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Bon. Edition originale. Le numéro 18716 de L'Humanité Hebdo des Samedi 16 et Dimanche 17 Octobre 2004, *** in-folio de 39,5x29 cm environ, *** contenant des articles pour le cent-cinquantième anniversaire de la naissance du poète Arthur Rimbaud sur 4 pages : "Rimbaud 1854-2004", *** articles signés Maurice Ulrich et Michel Étiévent, ainsi que des extraits de textes et poèmes d'Arthur Rimbaud, et une courte bibliographie, *** une illustration en couleurs d'après Ernest Pignon-Ernest, un dessin de Paul Verlaine, une photographie de l'hôtel Saint-Germain, l'un des lieux parisiens où passa Arthur Rimbaud, et une photographie de la Maison dite d'Arthur Rimbaud à Harar en Éthiopie, *** le journal est complet et plié en deux. *** 4 pages sur Rimbaud sur un total de 40 pages. ********** Arthur Rimbaud, le Feu Volé. Le 20 Octobre marquera le cent-cinquantenaire de la naissance du poète. *** Derrière nombre d'idées reçues, retour sur son uvre, toujours aussi brûlante. Portrait, témoignage. *** Rimbaud, 1854-2004. Au grand soleil d'amour chargé. Les deux lettres du voyant. Biographie sommaire. J'ai assez connu ces oiseaux-là ! Arthur Rimbaud, l'inconnu célèbre. Rue Nicolet : "Vous cherchez quelqu'un?". Bibliographie. ***.
Edité par Maggs Bros., 1937
Vendeur : Roe and Moore, London, Royaume-Uni
Edition originale
EUR 72,42
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierSoft cover. Etat : Very Good. 1st Edition. 8vo. Original paper covers. Booksellers catalogue of 232 items, portraits, essay on the iconographical items by Louis Vauxcelles. Covers a little darkened, pages yellowed.
Date d'édition : 1871
Vendeur : Le Manuscrit Français, Versailles, France
Membre d'association : ILAB
Manuscrit / Papier ancien Edition originale Signé
EUR 3 000
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierPas de couverture. Etat : Assez bon. Edition originale. VERLAINE, Paul (1844-1896) Lettre autographe signée « P. Verlaine » à Armand Gouzien 14, rue Nicolet, Paris-Montmartre, [Septembre-octobre 1871], 2 p. in-8° à l'encre noire sur papier vergé Renfort du pli central au ruban adhésif sur le second feuillet, quelques petites décharges d'encre sur certains mots Aux heures de ses toutes premières rencontres avec Rimbaud, le jeune Verlaine évoque la difficile grossesse de sa femme Mathilde, sur le point d'accoucher de leur fils Georges « Mon cher Gouzien, Je suis véritablement navré de vous faire faux-bond aujourd'hui. Voici mon excuse. Ma femme qui est enceinte a été hier au soir et toute cette nuit horriblement souffrante et moi sur pied et sur les dents. Dans ces conditions il m'a été de toute impossibilité de me livrer à un travail intellectuel quelconque. Pour vous prouver toute ma bonne volonté, je vous envoie ci-jointe quelques l'informe ébauche de ma lettre projetée. Voyez si par hasard vous n'en pourriez rien tirer. Je me propose de vous aller voir demain matin à l'effet de bien m'entendre avec vous sur l'esprit politique les nuances et les choses à mettre ou ne pas mettre, étant donné l'esprit de la rédaction. Et vous pourrez compter sur la lettre d'après-demain. Ne me tenez pas trop rigueur et croyez-moi toujours bien vôtre. P. Verlaine 14, rue Nicolet, Paris-Montmartre » On peut dater cette lettre avec certitude entre septembre et octobre 1871, de part l'adresse d'où elle est envoyée et du fait que Mathilde Mauté, 17 ans, n'ait pas encore accouché. L'irruption de Rimbaud dans la vie du couple Verlaine-Mauté marque toutefois son inéluctable descente aux enfers. Après divers échanges épistolaires entre les deux poètes, Rimbaud reçoit l'hospitalité chez les Mauté le 10 septembre 1871, au deuxième étage du 14, rue Nicolet à Montmartre. Les choses s'enveniment rapidement par les nombreuses incartades des deux compagnons. Quinze jours plus tard Rimbaud est contraint de quitter l'hébergement des Mautés, scandalisés par son attitude. Son nouvel ami parti, Verlaine n'en devient que plus irascible, comme il le laisse entrevoir dans la présente lettre : « moi sur pied et sur les dents ». Ses états d'ivresses et les violences physiques sur Mathilde se succèdent. À la fin d'octobre, quelques jours avant l'accouchement, Verlaine ira même jusqu'à jeter à bas du lit sa femme dont une réflexion sur « l'indélicatesse » de Rimbaud lui a déplu. Le petit Georges naît le 30 octobre sans la présence de Verlaine, absent toute la journée. Armand Gouzien (1839-1892) fut le directeur de la Revue des lettres et des arts. Verlaine y donna « Les Loups » et « Un Grognard », plus tard recueillis dans Jadis et Naguère. Il avait une assez bonne opinion de Verlaine comme journaliste pour l'inviter à collaborer au Gaulois, dans lequel lui-même rendit compte des Fêtes galantes. Bibliographie : Correspondance générale, t. 1, éd. Michael Pakenham, Fayard, p. 222 71/13. Signé par l'auteur.
Vendeur : Le Manuscrit Français, Versailles, France
Membre d'association : ILAB
Manuscrit / Papier ancien Edition originale Signé
EUR 18 000
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Ajouter au panierPas de couverture. Etat : Bon. Edition originale. VERLAINE, Paul (1844-1896) Poème autographe signé « Paul Verlaine » Londres, 1873, 1 p. in-8°, sur papier vergé Marge droite légèrement effrangée, infimes manques au centre et aux angles supérieurs Poème capital, évoquant la fuite chaotique et misérable à Londres avec Rimbaud Verlaine fait une entorse au sonnet traditionnel et réalise ici son premier essai en vers de treize syllabes, qu il dédie à Ernest Delahaye « Sonnet boiteux Ah vraiment c est triste, ah, vraiment ça finit trop mal. Il n est pas permis d être à ce point infortuné. Ah ! vraiment c est trop la mort du naïf animal Qui voit tout son sang couler sous son regard fané. Londres fume et crie. O quelle ville de la Bible ! Le gaz flambe et nage et les enseignes sont vermeilles. Et les maisons dans leur ratatinement terrible Épouvantent comme un sénat de petites vieilles. Tout l affreux passé saute, piaule, miaule et glapit Dans le brouillard rose et jaune et sale des Sohos Avec des indeeds et des allrights et des hâos. Non vraiment c est trop un martyre sans espérance, Non vraiment cela finit trop mal, vraiment c est triste : O le feu du ciel sur cette ville de la Bible ! Londres, 1873 Paul Verlaine » Ce sonnet, doublement boiteux, tant par sa formulation que par l emploi de vers de treize syllabes, marque pour la poésie de Verlaine une rupture avec le sonnet classique et de nouvelles perspectives métriques. La période est pour lui propice à ces nouvelles expérimentations, aux côtés de Rimbaud qui, derrière ces vers, apparaît comme une figure spectrale ; tant son influence esthétique sur Verlaine fut forte, et réciproquement. On note à deux reprises l allusion à la ville de Sodome, cette « ville de la Bible », dont le peuple a subi la colère d un Dieu incendiaire. L évocation des « Sohos » par ailleurs désigne ce célèbre quartier de Londres qui, en 1872-1873, était bien connu pour ses m urs libres et sa prostitution, où nombre de communards exilés ont vécu et que les deux poètes ont bien connu. S il est impossible de dater formellement ce sonnet, tout porte à croire que Verlaine le compose dans la prison de Mons, à l automne 1873. Le poète laisse ici transparaître une grande souffrance morale, rongé par l impureté, le blasphème et les plaisirs interdits avec son compagnon d infortune. On connaît à ce jour trois manuscrits de ce poème, et qui présentent plusieurs variantes. Le premier, joint à une lettre à Edmond Lepelletier d octobre 1873, est intitulé Hiver, et clôt la série Mon Almanach pour 1874 (aujourd hui à la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet). Le deuxième, qui est une mise au net, figure dans Cellulairement, recueil composé à la prison de Mons entre octobre 1873 et janvier 1875. Notre manuscrit, le troisième, a servi pour la première publication du sonnet dans La Nouvelle Lune du 11 février 1883. Ce poème figure ensuite dans Jadis et naguère, paru chez Vanier en novembre 1884. C est aussi à cette époque que Verlaine lui attribue son titre définitif : Sonnet boiteux. Verlaine ajoutera la dédicace « À Ernest Delahaye » au dernier moment, directement sur la coupure de La Nouvelle Lune préparée pour l impression de Jadis et naguère (Bibliothèque littéraire Jacques Doucet). « Nous nous contenterons de recommander à ceux qui se croient obligés d aimer qu on dépasse les limites permises de l énervement et de la déliquescence de la pensée certaines pièces à cet égard très réussies, dans Jadis et naguère, et de vrais modèles du genre : Sonnet boiteux, À Albert Mérat, Langueur » (Gabriel Sarrazin, La Revue contemporaine, janvier 1885). Nous joignons : Une lettre autographe signée de Verlaine à Philomène Boudin, dite Esther Londres, [25 novembre 1893], 3 p. in-8° Le poète écrit à sa maîtresse une tendre épître depuis Londres tout en faisant allusion à son tumultueux voyage dans la même ville vingt ans plus tôt, aux côtés d Arthur Rimbaud, contribuant à la rupture avec sa première femme, Mathilde Mauté. « Ne crains pas les femmes. D ailleurs Lo. Signé par l'auteur.